Anonyme - 04.05.2016 - Bien dit cher Hénoc, ici, on est devant une situation où il y a manque total de la volonté politique d'organiser les élections. Ce qui étonne est qu'en 2006 avant les elections, il n'y avait pas eu dialogue. en 2011 également il n'y avait pas eu dialogue mais pourquoi seulement à la fin du deuxième mandat, la MP impose un dialogue sous pretexte que c'est la seule piste de solution mettant de côté tous les acquis prescrit dans la constitution. On risque que dans le future, tout président qui viendra ait comme système, organisation du dialogue juste avant son dernier mandat et ça, c'est très grave pour un pays qui se dit démocratique.