Société
Transformées en sociétés commerciales, établissements publics et services publics, après un travail minutieusement conçu par le Copirep (Comité de pilotage de la réforme des entreprises publiques), les entreprises publiques congolaises vont très mal.
Si certaines entreprises connaissent des arrêts de travail, d’autres annoncent des grèves. Les raisons sont nombreuses : le non paiement des salaires, le détournement des fonds et autres problèmes. Malgré les dénonciations faites par des travailleurs, des délégations syndicales et d’autres organisations, l’Etat congolais reste indifférent face à toutes ces situations préoccupantes de ces entreprises.
Ainsi, tout le travail réalisé, en son temps, par le Copirep pour stabiliser les entreprises après leur transformation et leur redressement afin de les relancer, est totalement réduit à néant. Et pourtant, à la fin du projet qui finançait le Copirep, des recommandations ont été formulées pour la pérennisation des réformes réalisées dans les entreprises publiques congolaises.
Alors que la situation de ces entreprises est critique, elles continuent à être saignées à blanc par des ADG (administrateurs-délégués généraux) et DG (directeurs généraux) véreux qui alimentent leurs comptes dans des banques à l’étranger et qui financent leurs partis politiques. C’est grâce à ces partis politiques qu’ils ont été nommés responsables dans les entreprises de l’Etat.
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