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Infos congo - Actualités Congo - 08 Mars 2024
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17 ans après son assassinat, L.D. Kabila : à qui a profité le crime ?

2018-01-16
16.01.2018
2018-01-16
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17 ans après son assassinat, L.D. Kabila : à qui a profité le crime ?

Retour sur un procès au goût d’inachevé, sur le sort des condamnés, et sur les quatre pistes probables présentées par Arnaud Zajtman dans son film documentaire publié le 27 avril 2011 sur France O.

16 janvier 2001-16 janvier 2018. Cela fait 17 ans, jour pour jour,  depuis l’assassinat crapuleux du Président Laurent-Désiré Kabila en son bureau du Palais de Marbre. Un anniversaire que les Congolais vont encore commémorer dans la douleur et sans que le voile soit entièrement levé sur les circonstances de la mort de ce digne fils du pays, malgré le fameux procès au goût d’inachevé qui a été organisé autour de ce drame.

17 ans après, les Congolais épris de paix et de démocratie sombrent dans une nouvelle dictature plus féroce que celle pour laquelle l’AFDL de triste mémoire s’était liguée pour mettre fin au règne du maréchal Mobutu. De là à se demander à qui aurait profité l’assassinat du tombeur de l’ancien dictateur, nombreux sont aujourd’hui les Congolais qui se posent désormais la question.

Ce mardi 16 janvier, la question reviendra sans doute sur les lèvres de plusieurs de nos compatriotes, alors que la Fondation M’zee Laurent Désiré Kabila ou ce qu’il en reste va encore organiser un culte en mémoire du « tombeur » de Mobutu.

Les relations entre le successeur de Laurent-Désiré Kabila et l’Eglise Catholique s’étant détériorées depuis quelque temps, comme en témoigne la répression sanglante, le 31 décembre 2017, de la marche pacifique que voulaient organiser les laïcs catholiques à travers le pays, tout porte à croire que c’est la Cathédrale Protestante du Centenaire, située dans la Commune de Lingwala, qui abritera demain mardi le culte en mémoire de feu Laurent-Désiré Kabila.
Pendant ce temps, 17 ans après, le mystère reste entier sur les circonstances réelles de l’assassinat de L-D K.

S.T A propos du procès organisé

Pour en venir au procès qui a été organisé après son inhumation, il sied de rappeler qu’en janvier 2003, la Cour d’ordre militaire de Kinshasa avait prononcé  30 condamnations à mort dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Laurent Désiré Kabila.

Pour les Condamnés à mort, il faut citer entre autres, Mutindo Kitambala, Eddy Kapend, Itongwa Ngirinda, Yav Ditend, John Bonpengo, Mukanirwa Jojo, Leta Mangasa Georges, Nono Lutula, Jean Chiribangula, Murhanzi Fils, Kibonge Mulumba, Amisi Bakuka.

S’agissant des condamnés à perpétuité, il s’agit de Mayembe Oscar, Emmanuel Ndongo, Willy Bilolo, Marcelin Shambo, Bitanda, Kashindi Mubone, Baguma Gervais,  Théo Basole,  Kabumba Prosper, Muzima Aimé Césaire,  Mississipi Kasongo, Bisimwa Jimmy, Bahigwe Ildephonse,  Marhegane Pascal,  Kizito Kompany Yves, Bahaya Bernard.

D’autres prévenus ont été condamnés à 20 ans de prison. C’est le cas de Lukombo François, Lurhonge Meschac, Kapia Jean-Jacques, Fiama Sylva, Madame Nelly Ntwite, Kot Ndiur et Maurice Kolokota.

Parmi les condamnés à mort, certains sont décédés pendant leur détention.  Il s’agit de Patrick Kilay, Nico Bavurha, Panda Fariala, Yav Nawej, Jean-Jacques Kakwat, Rocky Byamungu , colonel Gordon Kunda Ntalabo et Salumu Tchap-Tchap .

Lors de l’attaque de la prison centrale de Makala le 17 Mai dernier, certains condamnés  ont réussi à s’en fuir, comme Théobar Kibonge Mulumba, ancien Administrateur de la Direction Générale des Migrations (DGM), de 1999 à 2001.
Après avoir traversé le fleuve Congo, il s’était depuis lors réfugié à Brazzaville, en République du Congo. A l’occasion de sa tentative de se faire enregistrer auprès du Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) dans le pays hôte, il aurait été arrêté depuis le 14 juillet 2017.

Après son extradition à Kinshasa qui se serait faite de manière secrète, les membres de la famille de Théobald et autres proches ne disposent plus de nouvelles à son sujet, révèle la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme(VSV).

Dans un communiqué, la VSV dénonçait  la politique du gouvernement de la RDC visant à tuer à petit feu les condamnés précités, alors que le procès assassinat Laurent Désiré Kabila demeure inachevé jusqu’à ce jour et n’a jamais, par conséquent, contribué à la manifestation de la vérité sur l’assassinat d’un Président en plein exercice de ses fonctions.

L’indifférence de la classe politique décriée

Dans ce mémorandum adressé à l’opposant Etienne Tshisekedi,  l’ensemble de la classe politique et la société civile , un groupe de Congolais avait dénoncé « une indifférence caractéristique » à l’égard de leurs frères et sœurs condamnés en 2003 dans le procès de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila condamnés dans un procès manifestement inique, « entaché d’une illégalité particulièrement grave et flagrante »par  la cour d’ordre militaire .

Les auteurs du mémorandum stigmatisaient également le refus par le gouvernement de la RDC d’appliquer la loi d’amnistie votée au Parlement de transition en 2003 en faveur des personnes condamnées dans ce procès.

Même  la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples avait en 2013 condamné l’Etat congolais et demandé l’acquittement  de toutes les personnes aux 16 janvier 2001 – 16 janvier 2018. Cela fait 17 ans, jour pour jour,  depuis l’assassinat crapuleux du Président Laurent-Désiré Kabila en son bureau du Palais de Marbre.

Un anniversaire que les Congolais vont encore commémorer dans la douleur et sans que le voile soit entièrement levé sur les circonstances de la mort de ce digne fils du pays, malgré le fameux procès au goût d’inachevé qui a été organisé autour de ce drame.

17 ans après, les Congolais épris de paix et de démocratie sombrent dans une nouvelle dictature plus féroce que celle pour laquelle l’AFDL de triste mémoire s’était liguée pour mettre fin au règne du maréchal Mobutu. De là à se demander à qui aurait profité l’assassinat du tombeur de l’ancien dictateur, nombreux sont aujourd’hui les Congolais qui se posent désormais la question.

Ce mardi 16 janvier, la question reviendra sans doute sur les lèvres de plusieurs de nos compatriotes, alors que la Fondation M’zee Laurent Désiré Kabila ou ce qu’il en reste va encore organiser un culte en mémoire du « tombeur » de Mobutu.

Les relations entre le successeur de Laurent-Désiré Kabila et l’Eglise Catholique s’étant détériorées depuis quelque temps, comme en témoigne la répression sanglante, le 31 décembre 2017, de la marche pacifique que voulaient organiser les laïcs catholiques à travers le pays, tout porte à croire que c’est la Cathédrale Protestante du Centenaire, située dans la Commune de Lingwala, qui abritera demain mardi le culte en mémoire de feu Laurent-Désiré Kabila.
Pendant ce temps, 17 ans après, le mystère reste entier sur les circonstances réelles de l’assassinat de L-D K.

Statut quo propos du procès organisé

Pour en venir au procès qui a été organisé après son inhumation, il sied de rappeler qu’en janvier 2003, la Cour d’ordre militaire de Kinshasa avait prononcé 30 condamnations à mort dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Laurent Désiré Kabila.

Pour les Condamnés à mort, il faut citer entre autres, Mutindo Kitambala, Eddy Kapend, Itongwa Ngirinda, Yav Ditend, John Bonpengo, Mukanirwa Jojo, Leta Mangasa Georges, Nono Lutula, Jean Chiribangula, Murhanzi Fils, Kibonge Mulumba, Amisi Bakuka.

S’agissant des condamnés à perpétuité, il s’agit de Mayembe Oscar, Emmanuel Ndongo, Willy Bilolo, Marcelin Shambo, Bitanda, Kashindi Mubone, Baguma Gervais, Théo Basole, Kabumba Prosper, Muzima Aimé Césaire, Mississipi Kasongo, Bisimwa Jimmy, Bahigwe Ildephonse, Marhegane Pascal,  Kizito Kompany Yves, Bahaya Bernard.

D’autres prévenus ont été condamnés à 20 ans de prison. C’est le cas de Lukombo François, Lurhonge Meschac, Kapia Jean-Jacques, Fiama Sylva, Madame Nelly Ntwite, Kot Ndiur et Maurice Kolokota. Parmi les condamnés à mort, certains sont décédés pendant leur détention. Il s’agit de Patrick Kilay, Nico Bavurha, Panda Fariala, Yav Nawej, Jean-Jacques Kakwat, Rocky Byamungu , colonel Gordon Kunda Ntalabo et Salumu Tchap-Tchap .

Lors de l’attaque de la prison centrale de Makala le 17 Mai dernier, certains condamnés avaient réussi à s’en fuir, comme Théobar Kibonge Mulumba, ancien Administrateur de la Direction Générale des Migrations (DGM), de 1999 à 2001.

Après avoir traversé le fleuve Congo, il s’était depuis lors réfugié à Brazzaville, en République du Congo. A l’occasion de sa tentative de se faire enregistrer auprès du Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) dans le pays hôte, il aurait été arrêté depuis le 14 juillet 2017.

Après son extradition à Kinshasa qui se serait faite de manière secrète, les membres de la famille de Théobald et autres proches ne disposent plus de nouvelles à son sujet, révèle la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme(VSV).

Dans un communiqué, la VSV dénonçait  la politique du gouvernement de la RDC visant à tuer à petit feu les condamnés précités, alors que le procès assassinat Laurent Désiré Kabila demeure inachevé jusqu’à ce jour et n’a jamais, par conséquent, contribué à la manifestation de la vérité sur l’assassinat d’un Président en plein exercice de ses fonctions.

L’indifférence de la classe politique décriée

Dans ce mémorandum adressé à l’opposant Etienne Tshisekedi,  l’ensemble de la classe politique et la société civile , un groupe de Congolais avait dénoncé « une indifférence caractéristique » à l’égard de leurs frères et sœurs condamnés en 2003 dans le procès de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila condamnés dans un procès manifestement inique, « entaché d’une illégalité particulièrement grave et flagrante »par  la cour d’ordre militaire .

Les auteurs du mémorandum stigmatisaient également le refus par le gouvernement de la RDC d’appliquer la loi d’amnistie votée au Parlement de transition en 2003 en faveur des personnes condamnées dans ce procès. Même  la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples avait en 2013 condamné l’Etat congolais et demandé l’acquittement  de toutes les personnes aux arrêts dans l’affaire Mzee Laurent-Désiré Kabila.

Les recommandations de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples ignorées

Lors de sa 54ème session ordinaire tenue du 22 octobre au 5 novembre 2013 à Banjul, en Gambie, relative au dossier des condamnés de l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, ancien Chef de l’Etat de la République Démocratique du Congo, la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des peuples (CADHP) avait exigé la libération de toutes les victimes. Surtout que parmi les présumés assassins de LDK, certains souffrent des maladies chroniques comme Lukombo François, Lurhonge Meschac, Kapia Jean-Jacques, Fiama Sylva, Madame Nelly Ntwite, Kot Ndiur et Maurice Kolokota…

La Commission africaine des droits de l’Homme et des Peuples a, dans ses recommandations sur ce dossier demandé à la RDC de maintenir son moratoire sur la peine de mort conformément à la résolution de la Commission demandant aux Etats d’envisager une suspension de la peine de mort (1999).

Banjul a enfin demandé à la RDC de lui rapporter par écrit dans les cent quatre-vingts jours (180) de la notification de la présente décision, quant aux mesures entreprises à l’effet de la mise en œuvre de ces recommandations.

Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ?

« Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? ». C’est le titre d’un film documentaire de notre confrère Arnaud Zajtman, diffusé le 27 avril 2011 sur la chaîne de télévision, France O, une chaîne disponible, partout dans le monde, sur le bouquet Canal Satellite Horizon et StarsTimes.

Depuis le 16 janvier 2001, jour de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila, le mystère demeure toujours. On ne sait toujours pas la main qui se cachait derrière Rachidi, l’assassin présumé du président Laurent-Désiré Kabila.

Dans ce documentaire, Arnaud Zajtman part d’un constat  selon lequel aucune des trente personnes condamnées à mort en 2003 n’est coupable du meurtre de Laurent-Désiré Kabila.

Arnaud Zajtman dit avoir suivi les pistes, à savoir celles d’un petit nombre de gardes du corps qui  étaient, selon notre confrère,  liés à un homme d’affaires libanais qui en a assuré la logistique et qui, lui-même, avait des contacts avec le groupe rebelle pro-rwandais RCD (le Rassemblement congolais pour la démocratie).

Ces rebelles, à l’époque, occupaient l’est de la RDC. Et ces mêmes gardes du corps avaient également, à l’époque, des contacts avec l’attachée de Défense de l’ambassade des Etats-Unis. D’après les investigations menées par Arnaud Zajtman, toutes ces personnes sont, à différents égards, impliquées dans le complot.

Pour lui, il y a eu un complot dans lequel un petit nombre de gardes du corps étaient impliqués, Mirindi étant le seul rescapé de cette aventure. Mais au moment où il faut trouver des coupables, ceux ayant été impliqués dans le complot et ont réussi à fuir.

Arnaud Zajtman dit avoir exploré comme première  piste celle du commandant Anselme Masasu. Rachidi et Mirindi étaient des hommes du commandant Masasu que Kabila avait fait exécuter deux mois plus tôt. Les hommes de Masasu auraient ainsi voulu venger sa mort.

En effet, les gardes du corps de Laurent-Désiré Kabila avaient été recrutés par Masasu, ce  compagnon d’armes que Kabila  a fait tuer au mois de novembre. Pour  Arnaud Zajtman,  c’est la goutte d’eau qui aurait fait déborder le vase.

Donc, l’assassinat de Masasu aurait renforcé les frustrations des gardes du corps de LDK, selon ce que rapporte Arnaud Zajtman dans son film documentaire.

La  Deuxième piste explorée par Arnaud Zajtman est celle de Bilal Héritier, homme d’affaires libanais que LD Kabila avait écarté du marché du diamant quelques semaines plus tôt.

Cette  piste parait  sérieuse du fait que Bilal Héritier, à l’époque où le pays était divisé, avait déjà des contacts dans l’Est du Congo occupé par les rebelles pro-rwandais du RCD. C’est lui qui aurait fourni la logistique de l’assassinat et fourni un appartement mis à la disposition des gardes du corps qui ont fait le coup. Et le soir de l’assassinat, c’est chez lui que se serait trouvé refugié le complice de l’assassin, Georges Mirindi.

La Troisième piste  est celle  du Rwanda.  Arnaud Zajtman indique dans le documentaire que, juste après l’assassinat, Mirindi le garde du corps et Héritier l’homme d’affaires libanais s’est  enfui à Goma dans l’Est du pays, c’est-à-dire dans la zone sous contrôle rwandais.

Arnaud Zajtman affirme avoir rencontré  à l’époque Bilal Héritier dans la résidence du secrétaire général du RCD de l’époque, Azarias Ruberwa. Ces deux hommes étaient, à l’époque, très proches. Ce qui laisse penser au réalisateur du  film documentaire  que le RCD et probablement le Rwanda en savaient quelque chose sur l’assassinat de Kabila Laurent.

D’ailleurs, le soir de l’assassinat, c’est l’un des responsables de la sécurité du Rwanda qui dit à un diplomate britannique « ce sont nos hommes qui ont fait le coup », disait Arnaud Zajtman interrogé par Christophe Boibouvier de RFI.

La Quatrième piste  est celle  des Etats-Unis. Arnaud Zajtman affirme avoir  recueilli les témoignages de l’ancienne attachée de Défense de l’ambassade américaine en RDC à l’époque. Il s’agit d’une femme, le colonel Sue Ann Sandusky, dont la carte de visite aurait été trouvée dans les affaires de Rachidi, le présumé assassin.

En suivant attentivement le film documentaire d’Arnaud Zajtman et ses interventions sur RFI, il y a lieu de dire que les vrais assassins de LDK sont encore dans la nature.

Mutindo Kitambala, Eddy Kapend, Itongwa Ngirinda, Yav Ditend, John Bonpengo, Mukanirwa Jojo, Leta Mangasa Georges, Nono Lutula, Jean Chiribangula, Murhanzi Fils, Kibonge Mulumba, Amisi Bakuka … ne seraient donc que des innocents dans cette affaire.

GKM
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