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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 05 mars 2024
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Politique

RDC-Botswana : Ian Khama, l’arroseur arrosé ?

2018-03-16
16.03.2018
2018-03-16
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Joseph Kabila à côté de Ian Khama au cours d'un sommet de la SADC

Il a plus que fait sensation, fin février courant, le Chef de l’Etat Botswanais, Ian Khama. Le 28 février 2018, le gouvernement que dirige le président de la République de ce pays membre de la SADC jusque-là très réputé pour sa bonne gouvernance s’était fendu d’une inhabituelle déclaration hyper médiatisée contre son homologue rd congolais Joseph Kabila. Laquelle dénonçait sans mettre des gants « la détérioration de la situation humanitaire et la mauvaise gouvernance » et accusait le quatrième président de la RDC de « refuser d’organiser les élections et d’avoir, de ce fait, perdu le contrôle sécuritaire de son pays ».

De la part d’un pays membre d’une des organisations régionales les plus engagées aux côtés de la RD Congo dans la résolution de ses problèmes sécuritaires, économiques et politiques, la déclaration du gouvernement du Botswana avait plus que fait tache d’huile, puisqu’elle laissait apparaître une fissure insoupçonnées jusque-là parmi les membres de la SADC dont on sait qu’ils fournissent les éléments de troupes les plus efficaces de l’impressionnante mission onusienne dans ce pays.

Propos durs

Les propos durs des Botswanais contre Kabila prenait en outre un relief d’autant plus particulier qu’un mois auparavant, fin janvier 2018, l’index annuel de corruption de Transparency International avait élevé cet Etat d’Afrique australe au rang de « pays le moins corrompu du continent africain ». En fait, avec l’Afrique du Sud, le Botswana a toujours figuré parmi les meilleurs élèves des occidentaux en matière de démocratie sur le continent. Fort de cette réputation, à bien des égards surfaite par les médias occidentaux, ce petit pays s’était déjà prononcé contre le Zimbabwe en novembre 2017, lorsque le même Ian Khama avait réclamé explicitement le départ de son homologue Robert Mugabe. « Personne ne devrait rester président pendant une si longue période […] Nous sommes des présidents, nous ne sommes pas de monarques. C’est simplement du bon sens », avait décrété ce fils de l’ancien président Sereste Khama et d’une Ecossaise, très appréciés de ses « oncles » occidentaux.

Fin février dernier, Ian Khama a joint sa voix à celles des pays occidentaux contre Joseph Kabila et la RD Congo, qui faisaient chorus pour condamner ce qui avait été présenté comme la « répression sanglante de la marche des chrétiens » du 25 février 2018, c’est son ministre des Affaires étrangères qui s’était chargé de déclarer : « Nous continuons d’assister à une crise humanitaire qui empire dans ce pays principalement parce que son dirigeant a sans cesse repoussé la tenue d’élections. » Et aussi que Joseph Kabila a « perdu le contrôle de la sécurité de son pays ».

Ian Khama, pas si saint que ça

Seulement, le Lieutenant-général Ian Khama n’est pas aussi saint qu’il tente de le faire croire avec l’appui des médias occidentaux. Selon les révélations de nos confrères de Panafricanvisions datées du 10 mars 2018, il n’y a donc qu’une semaine jour pour jour, ce pays d’Afrique Australe est lui-même mêlé à une affaire de corruption massive, d’abus de fonctions et de combines de blanchiment d’argent impliquant de hauts cadres gouvernementaux, au premier rang desquels… son donneur de leçons de président, le lieutenant-général Ian Khama en personne.

Les allégations de corruption et de blanchiment d’argent se sont faits jour vers la fin de l’année dernière mais ce n’est qu’au courant des deux dernières semaines que de nouvelles preuves ont émergé pointant du doigt une combine aussi sophistiquée que sulfureuse de blanchiment d’argent avec meurtre à la clé le mettant en cause directement.

Au premier rang des investigations se trouve le Dr Abraham Sethibe, Directeur de l’Agence d’Intelligence Financière du Pays. Ce haut fonctionnaire a mené des enquêtes après que la Capital Bank a détecté des transactions suspectes de l’ordre de 250 millions de Poulas soit 25 millions de dollars US. Les transactions douteuses détectées par la Capital Bank impliquent des fonds de la National Petroleum Funds (Fonds National de Pétrole) qui devaient servir à la construction des citernes de stockage pour le compte de la Direction des renseignements et de sécurité (DIS). Ces fonds ne sont jamais parvenus à leurs destinations.

Investigations révélatrices 

En menant les investigations sur les transferts des fonds, Sethibe a dévoilé des milliers de liens et d’autres activités criminelles ayant abouti même à des assassinats. Le cerveau et pion majeur de toutes ces opérations illégales de blanchiment d’argent est Bakong Seretse, proche du président Khama et un des principaux conseillers financiers du gouvernement Botswanais, par ailleurs gestionnaire d’actifs de Basis Points Capital.

Le rapport de Sethibe établit que Bakong Seretse avait développé un partenariat d’affaires avec un Sud-africain dénommé Vusi Mhlanzi. Bakong Seretse est ainsi devenu gestionnaire d’actifs de Basis Points Capital, une firme appartenant à Mhlanzi. Quelques temps après qu’ils aient signé un accord, un mystérieux compte bancaire a été ouvert pour le compte de Basis Points Capital sans l’approbation et à l’insu de Vusi Mhlanzi. C’est ce mystérieux compte qui a servi à Bakong Seretse pour réaliser les opérations de blanchiment en faveur des dignitaires du régime de Ian Khama.

Les rapports financiers indiquent que plus les 250 millions de Poulas ont été transférés du fond national de pétrole vers ce compte. A partir de ce compte bancaire, l’argent a été viré vers des comptes bancaires de politiciens botswanais haut gradés, en même temps que d’autres montants étaient transférés en Afrique du Sud, en Italie et en Grande Bretagne où ils ont servi à l’acquisition de propriétés immobilières.

Une partie de l’argent pour le président 

Sethibe reste convaincu que Bakong Seretse était le détenteur du mystérieux compte, ce qui a été indirectement confirmé par Kgosietsile Ngakagae, avocat de l’homme d’affaires sud africain qui a avoué qu’une partie de l’argent « avait été transmis au Président Khama qui s’en est servi pour s’acheter notamment une caravane et se faire construire une résidence ». Sans révéler le montant exact de la part payée au président botswanais.

Sethibe établit que ce n’est que quelques temps après que le mystérieux compte ait été ouvert que Vusi Mhlanzi, Directeur financier de Basis Points Capital, fut mis au courant de son existence. Il demanda alors par courriers électroniques (emails) des détails y relatifs. En vain. Il signale que le journal sud-africain Mail & Guardian est en possession de quelques-uns de ces emails).

Le 29 Août 2017, deux millions de Rands ont été déposés à la FNB dans un compte non spécifié en Afrique du Sud. Cet argent provenait du mystérieux compte. Le 31 Aout 2017, deux jours après le dépôt Mhlanzi décida de se rendre au Botswana pour échanger avec Bakong Seretse à ce sujet. Personne ne l’a revu vivant car il sera froidement abattu dès son retour en Afrique du Sud. Bien que n’étant pas encore condamné pour le meurtre de Mhlanzi, Bakong Seretse est considéré par beaucoup comme en étant le commanditaire de cet assassinat, d’autant plus que le meurtre porte les marques d’un coup monté. La motivation était claire : Bakong Seretse a très probablement voulu éliminer la seule personne qui pouvait vendre la mèche et livrer des informations vitales qui l’impliqueraient lui et son président dont il était le cerveau et l’architecte de la combine de blanchiment d’argent.

Des inculpations au Botswana

La justice du Botswana a inculpé Bakong Seretse pour blanchiment d’argent, ainsi qu’un certain Kenneth Kerekong, PDG de Botswana Energy Regulatory Authority et ancien Directeur Général de Basis Points Capital et Botho Leburu. Les trois ont déjà comparu devant la justice afin de répondre des charges portées contre leurs personnes, à savoir le blanchiment d’argent et la corruption. Curieusement, après leur première audience, la cour leur a accordé une mise liberté provisoire sous caution de 30.000 Poulas et ils devraient à nouveau se présenter devant la cour à la fin ce mois.

En plus du président Ian Khama, le vice-président du Botswana, Mokgwetsi Masisi, est aussi accusé d’avoir lui aussi bénéficié d’environ 3 millions de Poulas (300.000 $ US) de ces combines meurtrières de blanchiment d’argent de Seretse. Néanmoins le Botswana Democratic Party (BDP), le parti au pouvoir, défend bec et ongles son président Ian Khama et son vice-président par les déclarations de son trésorier, Satar, et de son secrétaire général, Mpho Balopi qui ont écarté dans leur communiqué « toute implication du gouvernement dans ces combines »… Sans convaincre.

La Police Sud-africaine (SAPS) à Johannesburg a déclaré qu’elle travaillait d’arrache-pied afin de mettre la main sur le coupable et responsable du meurtre de Vusi Mhlanzi, un citoyen sud-africain. Tulani Mhlanzi, porte-parole de la famille Mhlanzi a cependant déclaré qu’ils n’ont pas eu de nouvelles de la Police Sud-africaine depuis le meurtre, il y a déjà six mois. Bien que le Botswanais Bakong Seretse n’ait pas encore été déclaré formellement comme un potentiel suspect de l’assassinat de Mhlanzi, la Police Sud-africaine a annoncé son intention d’« engager, au besoin un autre service de police dans un autre pays s’il était prouvé que quelqu’un au-delà des frontières d’Afrique du Sud était derrière ce meurtre ».

Cette affaire scabreuse est une de plus dans la longue liste des combines de blanchiment d’argent constituent et de corruption auxquels le Botswana fait face depuis son indépendance et que les accointances entre son leadership et les médias anglo-saxons étouffent systématiquement, selon tous les observateurs.


Panafricanvisions
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Manu @SBCINGJ   Message  - Publié le 18.03.2018 à 11:36
La vérité blesse alors vous allez cherché les poux sur une chauve afin de vous blanchir? Mawa pona MP-PPRD

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Le peuple congolais @X8TEIAZ   Message  - Publié le 17.03.2018 à 12:20
La kabilie doit se concentrer à nous restituer notre pouvoir au lieu de perdre notre argent en achetant et corrompant les medias,vous êtes médiocres et cet article ne change rien

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Anonyme @NY5VDP3   Message  - Publié le 17.03.2018 à 08:25
Nous savons que Kabila est prêt à livrer même sa femme pour son honneur et pour se maintenir au pouvoir: des millions des dollars ou des matières premières ont surement circuler pour salir ce Président au franc parlé.

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Anonyme @8L21GWL   Message  - Publié le 17.03.2018 à 05:22
une analyse terre-à-terre;car les histoires de botswana nous interessent moins , mais plutot c'est la réalité de ce qui se passe en RDC qui compte; Svp ca c'est une tres mauvaise comparaison/analyse de nineau tres bas,tres bas ,tres bas, ; Defendre l'indefendable c'est la vie des nos politiciens en RDC; Bref:Donc on reste dans la médiocrité pcq ailleur c'est pareil.

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Anonyme @8L21GWL   Message  - Publié le 17.03.2018 à 05:06
une bassesse d'esprit de la part de ce "mediacongo";cet article n'a pas de place ici; Quand on vous donne des remarques utiles et veridiques , automatiquement la verité devient mensonge pcq celui qui l'a dite a egalement des pechés Pas de sens vraiment.

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askots @AJTBIE6   Message  - Publié le 17.03.2018 à 00:36
Président Ian Khama du Botswana ressemble à l’autruche. Sa véritable image est celle d'un voleur assassin. Les médias occidentaux qui ont relayé ses propos sur le Président de la RDC doivent se sentir plus gênés que lui même.

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Je suis RDC @4EJDR32   Message  - Publié le 16.03.2018 à 22:31
Bostwana est de très loin un pays prospère et moins corruptible en afrique. Il n'ont pas des fosses communes, pas de sehemu yangu, pas des berets rouges, pas des médiocres et dans le cabinet du chef il y'a 128 personnes au lieu de 800 en RDC Mediacongo Soyez cohérent svp

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Néron @5A9JHZW   Message  - Publié le 16.03.2018 à 20:06
MCN trop partisan. Nous vous soupçonnons. Qu'à cela ne tienne, mène aussi les recherches sur les 30 millions de la SNEL perdu au cabinet du PR, dans quelle ligne du budget du congo sont logés les fonds générés par les imprimés de valeur dont permis de conduire, passeport le pétrole de Moanda

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sergeo @M4MG2GT   Message  - Publié le 16.03.2018 à 19:53
vous publiez n'importe quoi cher medias congo, à quoi ça sert de critiquer le botswana??? etes vous devenu bostswaneux ou quoi.

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Musa @G14FZFF   Message  - Publié le 16.03.2018 à 19:39
Qui nous a donne' des fausse informations en disant que Joseph Kabila est un enfant de MOUZE' Kabila? C'etais Kyungu Wakumwanza et Vital Kamerhe qui nous ont amene' ce Rwandais qui etait venu de la BROUSSE enfant de Christophere Kanambe avec les bottes de Jardinier. A qui la faute? Aujoud'hui il est devenu MILLIARDERE avec les minerais du Congo mais le peuple Congolais souffre. Aujourd'hui Joseph Kabila est devenu fort a cause de police et l'armee' etranger des milices a la RD Congo. Pour se debarrasser de lui il faut SOULEVEMENT POPULAIRE, c'est un Rwandais. Toyebi Joseph Kabila esika akolela te, to yebi ba camarades na ye te, ecole atanga toyebi te. ba Koko na ye toyebi te. Mutu oyo azali Rwandais President ya Botswana a raison, Joseph Kabila doit partir, est un DICTATEUR.

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 16.03.2018 à 19:21
Je me demande si les gens parfois comprenent ce qu'ils lisent. Kabila qu' est ce qu'il a avoir dans cette affaire. Katumbi est poursuivit par la justice de votre pays , kabila est mauvais, vous voulez qu'il soit candidat, Diomi de meme, non pesecution politique. Dans cet 'article on donne les noms de personnes, donc qui écrit encourt le risque de diffamation, et nous parlons de 2 pays comme l'Afrique du Sud et Botswana, pays credibles . Vous devenez plus botswané que le botswané meme. Le Botswana est moins corrompu, ne veut pas dire qu'il n'ya pas de corrution.

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LES KABILISTES PRETS @VZOUPFP   Message  - Publié le 16.03.2018 à 18:11
BANDES DES MÉDIOCRES Au moins au Botswana,on mene des enquêtes et même le President de la republique peut -être mis en cause comme d'ailleurs dans tous les pays du monde civilisés où les chefs d'états ne sont pas aux dessus des lois de la republique mais en RDC,IL N'Y A JAMAIS D'ENQUETE LES GENS VENUS EN BOTTES ET QUI SONT AUJOURD'HUI MULTI MILLIONNAIRES COMPRATIVEMENT À LEURS SALAIRES,L'ECART EST CONSTATÉ MAIS AUCUNE ENQUETE ON BRADE LES MINERAIS AVEC DES MINISTRES PERMANENTS ET ÉTERNELS,AUCUNE ENQUETE. République bananière et des menteurs systèmiques LE BOTWANA EST UNE FIERTÉ AFRICAINE ALORS QUE LA RDC EST UNE HONTE EN MATIERE DE GESTION.

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A @49NAX98   Message  - Publié le 16.03.2018 à 17:39
Ces écrits sont "Non sens" et "Non événement", bref Kabila doit dégager

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Rien que la vérité @U25N93K   Message  - Publié le 16.03.2018 à 17:16
Le président Botwanain n'a pas reproché le Président Kabila pour une histoire de corruption ou blanchissement des capitaux mais plutôt, le fait qu'il s'accroche au pouvoir alors qu'il est fin mandant. Le problème de Ian et Kabila c'est le respect de la démocratie et non de corruption bien que nous n'encouragons pas la corruption.

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Elikya ya Bana Nzamb @GJS51PS   Message  - Publié le 16.03.2018 à 16:28
OK. Une question : La vérité devient-elle mensonge lorsqu'on découvre que celui qui l'a dite est un "corrompu"???

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Musa @G14FZFF   Message  - Publié le 16.03.2018 à 16:23
Botswana : Ian Khama le peuple Congolais ne veut pas ce Dictateur Kabila au pouvoir puisqu'il tue le peuple Congolais qund il veut et il arrete les opposants et les activistes de la societe' civile. Cela montre que Joseph Kabila n'est pas Congolais et nous voulons qu'il retourne dans son pays natal qui est le Rwanda puisqu'il est Rwandais, il n'est pas Congolais. Ian Khama nous voulons le chasser par les armes. Quel est votre reaction maintenant, vous pouvez nous aider pour mettre ce bandit a la porte? Ce moment on a besoin d' aide, merci beaucoups pour la comprehension.

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Anonyme @ILLIO62   Message  - Publié le 16.03.2018 à 16:17
Bon, on a aussi droit dans cette espace à faire de proposition? Si oui, que le journaliste qui a pondu cet article se rendre au Botswana pour vérifier le niveau de vie de Botswanais et de la Démocratie dans ce pays comparé à la RDC, je serais prêt à y contribuer pour son voyage.

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Le sage @SD3Y66Q   Message  - Publié le 16.03.2018 à 16:16
Tentative de réplique contre les propos du Botswanais qui a eu le courage de dénoncer le mal en RDC. Malgré vos diffamations, ce qui est sur, ce que Ian va quitter le pouvoir à la fin de son deuxième mandat, ce que kabila est incapable de faire. Et si vos allégations sont vraies il sera poursuivi par la justice de son pays qui est vraiment indépendante ce qui n'est pas le cas du Congo dit démocratique. Qu est donc plus grand et plus civilisé que l'autre?

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Scorpion @CSNS1TM   Message  - Publié le 16.03.2018 à 15:38
N'importe quoi,un article confectionné et financé par la médiocrité (MP) dans le but de sauver leur autorité morale desavoué non seulement par la communauté nationale, mais par la communauté africaine et internationale aussi Un torchon noir cousu à fil blanc ne peut pas sauver un Président illégal et illégitime qui cherche à s'accrocher ridiculement au pouvoir malgré la fin de son mandat Le Botshwana est un pays mod_le en Afrique que seul les médiocres peuvent en douter.

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Notre Congo_Rdc @D354S4K   Message  - Publié le 16.03.2018 à 15:35
Mutwale - 16 03 2018 15:26 As-tu vraiment compris l'article? Je ne penses pas du tout. Il serait mieux de relire puis commenter par la suite. Sentimentaliste avéré.

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Mutwale @PUK5Q1M   Message  - Publié le 16.03.2018 à 15:26
Nous savions que la MP cherchait de poux dans la tête chauve du président Botswanais pour avoir critiqué le Raîs!!! Cet esprit de médiocrité congolais doit s'arrêter SVP. Ce président botswanais n'a fait que relever la réalité des faits en RDC!!! Est-ce que ce que le Raîs fait est un modèle pour l'Afrique??????

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