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Infos congo - Actualités Congo - 08 Mars 2024
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Politique

FCC-CACH: Quel avenir pour ce « mariage d’intérêt » ?

2020-09-24
24.09.2020
2020-09-24
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Ce 20 septembre 2020, Félix Tshisekedi a rencontré son prédécesseur, Joseph Kabila, pour discuter des tensions que traverse la coalition au pouvoir FCC-CACH. Ce tête-à-tête, qualifié de rencontre de la dernière chance, épargnera-t-il le divorce aux deux familles politiques? Analyse pour Sputnik du chercheur et journaliste Patrick Mbeko.

C’est une rencontre particulièrement attendue qui a eu lieu ce dimanche 20 septembre 2020 à la résidence présidentielle de la N’Sele entre les deux patrons de la coalition au pouvoir, Félix Tshisekedi et Joseph Kabila. Au menu des discussions, plusieurs sujets qui fâchent et qui risquent de faire voler en éclat ladite alliance. Quelques jours avant le tête-à-tête entre les deux hommes, Néhémie Mwilanya Wilondja, le coordonnateur du FCC (Front commun pour le Congo), la famille politique de Joseph Kabila, avait donné le ton en faisant savoir que l’heure était venue pour les deux plateformes de cesser de ruser et de jouer cartes sur table quant à leurs réelles intentions, dévoilant au passage pour la première fois le contenu du fameux «deal» conclu entre Tshisekedi et Kabila au lendemain du scrutin de décembre 2018 et qui prévoit, entre autres, que le FCC reprendra la présidence du pays en 2023.

​Au commencement était le «deal»

Les élections présidentielle et législatives congolaises de décembre 2018 ont été caractérisées par de nombreuses irrégularités, lesquelles ont poussé la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) à mettre en doute les résultats proclamés par la CENI (Commission électorale nationale indépendante). Selon cette institution chargée d’organiser et de superviser le scrutin, l’opposant Félix Tshisekedi, candidat de CACH (Cap pour le changement), est arrivé en tête de la présidentielle avec 38,57% des voix devant Martin Fayulu (34,8%), candidat de la coalition d’opposition LAMUKA, et le candidat de la coalition au pouvoir FCC Emmanuel Ramazani Shadary (23,8%).

Néanmoins, une fuite des documents téléchargés depuis les serveurs de la CENI par un lanceur d’alerte est venue questionner ces résultats, jetant un nouvel éclairage sur la réalité de cette présidentielle. En effet, selon les données qui ont fuité et auxquelles  ont eu accès le Financial Times et Radio France internationale (RFI), c’est l’opposant Martin Fayulu qui aurait remporté le scrutin avec 59,4% des voix, loin devant Emmanuel Shadary et Felix Tshisekedi qui auraient flirté respectivement avec 16 et 15% des voix. Des résultats qui ont été corroborés par la CENCO qui avait quelque 40.000 observateurs éparpillés à travers le territoire national congolais.

Malgré tout, la Cour constitutionnelle a confirmé les résultats provisoires de la CENI, proclamant Félix Tshisekedi vainqueur de l’élection présidentielle. Dans la capitale, Kinshasa, les observateurs les plus avisés ne se sont pas fait d’illusion sur le tour de passe-passe qui venait de s’opérer. Des voix se sont élevées dans le pays pour fustiger l’accord que le Président sortant, Joseph Kabila, aurait conclu avec Félix Tshisekedi pour se maintenir au pouvoir dans l’ombre de son successeur. Plusieurs heures avant la proclamation des résultats par la CENI, une source proche de Kabila avait contacté l’auteur de ces lignes pour lui confier que «le chef [allusion à Kabila, ndlr] a décidé d’imposer Félix.»

Même si le fameux «deal» n’a jamais été rendu public, il n’en reste pas moins qu’il y a eu un accord entre le Président sortant et son successeur. Lors de sa visite à Windhoek, en Namibie, le nouveau chef de l’État avait en effet admis avoir conclu une entente avec son prédécesseur, mais pour un gouvernement de coalition. Ce qu’une enquête menée par un journal belge avait démenti en révélant les coulisses de la désignation de Tshisekedi par Kabila.Si ce dernier a décidé, à son corps défendant, de piocher dans l’opposition pour choisir son successeur, c’est parce qu’il redoutait un soulèvement populaire et surtout une intervention directe des Occidentaux au cas où il aurait imposé son dauphin Emmanuel Shadary.

La «vérité des urnes» a ainsi cédé le pas à ce que le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, a appelé «un compromis à l’africaine». Un compromis dans lequel le FCC et CACH ont décidé de diriger le pays ensemble au sein d’une coalition, et ce sous l’œil attentif d’un Joseph Kabila qui est parti de la présidence sans quitter le pouvoir...

«Je t’aime, moi non plus»

Si les premiers jours du régime Tshisekedi ont été caractérisés par des embrassades et autres marques d’affection entre membres de la coalition FCC-CACH, faisant dire à certains d’entre eux que l’alliance avait de beaux jours devant elle, les semaines et mois qui ont suivi ont cependant mis en évidence l’énorme fossé qui sépare les deux familles politiques, tant sur le plan politique que sur le plan idéologique.

Lors de sa première visite officielle aux États-Unis, le chef de l’État congolais avait dévoilé ses véritables intentions, déclarant qu’il allait se défaire du système dictatorial de son prédécesseur. «Je le dis sans peur. Je suis là pour déboulonner le système dictatorial qui était en place», avait-il affirmé lors d’une conférence au Council on Foreign Relations. Des propos qui avaient fait bondir de colère le FCC. Depuis, la coalition évolue sur fond de coups bas et de méfiance réciproques...

​En fait, Félix Tshisekedi n’a jamais porté Joseph Kabila dans son cœur -en témoignent plusieurs de ses interventions publiques- et c’est réciproque. Les partisans des deux plateformes ne s’apprécient pas non plus. Le «mariage d’intérêt» entre les deux hommes devait permettre à Kabila de continuer à diriger le pays de l’arrière. Si Tshisekedi a accepté de jouer le jeu, il ne compte pas non plus se laisser imposer certains choix politiques du FCC. En témoigne, par exemple, le cas Ronsard Malonda que le FCC a voulu imposer à la tête de la CENI avant de se heurter au veto de Félix Tshisekedi. En témoigne également la controverse liée aux nominations de deux juges effectuées par le même Tshisekedi à la Cour constitutionnelle, au grand dam de la Kabilie.

Mieux installé dans son fauteuil et soutenu par les Américains qui le poussent à se soustraire à la «tutelle» de son prédécesseur, Félix Tshisekedi manœuvre tant bien que mal pour positionner ses hommes de confiance à des postes clés dans les services de sécurité, dans la magistrature ainsi qu’à la CENI, multipliant ainsi les «accrochages» avec un FCC de plus en plus sur les dents et qui promet de réagir...

Le Retour du Raïs

C’est dans ce climat de tension et de méfiance au sein de la coalition que Joseph Kabila, devenu «sénateur à vie» comme le veut la Constitution, a décidé de faire son grand retour sur la scène politique congolaise. C’était à l’occasion de la rentrée parlementaire, qui a eu lieu le 15 septembre dernier. S’il est vrai que celui que les Congolais ont surnommé «le Raïs» n’a jamais véritablement quitté la vie politique dans les faits, se contentant de tirer les ficelles depuis les coulisses via le FCC qui a gardé la haute main sur toutes les institutions du pays, il est aussi vrai que ce «retour» effectué en grande pompe marque un tournant important dans la vie politique congolaise.

En effet, par ce «come back», Kabila entend désormais peser directement sur le cours des évènements en prévision des élections de 2023 à venir. Son retour est un message envoyé aussi bien à ses partisans pour les rassurer qu’à CACH pour lui faire comprendre qu’il a intérêt à respecter les «règles du jeu» relatives au «deal». C’est dans cette optique de «stricte mise au point» que le coordonnateur du FCC (aussi ancien directeur de cabinet de Kabila), Néhémie Mwilanya Wilondja, a évoqué pour la première fois le contenu de l’accord qui lie Félix Tshisekedi à son prédécesseur et qui prévoit que le FCC reprendra la présidence de la République en 2023. Au sein de cette plateforme, on y travaille déjà, comme l’a déclaré l’un de ses membres éminents, le ministre de l’Environnement Claude Nyamugabo: «Le retour de Joseph Kabila n’est pas un slogan, c’est une réalité. Il va retourner au pouvoir et nous sommes en train d’y travailler. Toute la population attend cela avec impatience.»Quel avenir pour la coalition?
Pour l’heure, les deux parties semblent avoir opté pour l’apaisement. Les discussions pour harmoniser les points de vue se poursuivent sur fond de tensions mais aussi de l’ingérence discrète quoique de plus en plus prégnante des États-Unis. Ce qui n’est pas de nature à arranger les choses.


Une chose semble certaine, c’est qu’au regard de la configuration politique actuelle, la partie sera particulièrement difficile pour Félix Tshisekedi qui devra désormais composer avec un FCC plus que jamais revigoré par le retour en puissance de son autorité morale Joseph Kabila sur la scène politique. Au sein même de CACH, qui réunit son parti l’UDPS et l’UNC de son directeur de cabinet Vital Kamerhe, rien ne semble aller depuis l’arrestation de ce dernier. Et rien ne présage un avenir meilleur pour cette coalition, à moins que Félix Tshisekedi ne décide d’esquisser un geste de bonne foi en direction de son directeur de cabinet, comme une grâce présidentielle. Ce qui est loin d’être acquis, compte tenu des rivalités en sourdine entre l’UNC et l’UDPS...En cas de désaccords ou de brouille majeure au sein de la coalition FCC-CACH, la plateforme de

Joseph Kabila pourrait activer l’un des trois leviers suivants pour affaiblir, voire neutraliser Félix Tshisekedi et l’UDPS:

Exploiter les dissensions au sein de CACH, en misant sur l’UNC de Vital Kamerhe, quitte à le débaucher afin d’en faire un allié, ce qui isolerait davantage Tshisekedi et le placerait en minorité;
Utiliser le levier législatif en se servant des deux chambres qu’elle contrôle à la majorité absolue pour mettre en accusation Félix Tshisekedi (art. 166 de la Constitution). Sur ce point, ce ne sont pas les griefs qui manquent;
Dévoiler le contenu du «deal», ce qui aurait pour conséquence majeure de remettre en question les résultats des élections entérinés par la Cour constitutionnelle et, par là-même, le pouvoir même de Félix Tshisekedi.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’avenir de la coalition FCC-CACH va dépendre de la posture que chaque camp, et plus particulièrement l’UDPS, va adopter dans les semaines et mois à venir...


Sputnik News / MCP, via mediacongo.net
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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 25.09.2020 à 13:48
RAMAPHOSA EN VOIE DE DESTITUTION,, ;:!!!! , Le Salaitre du Président Ramaphosa aété fixé 18750 Dollars ( Dix Huit Mille Sept Cent Cinquante dollars )° soit 3650 dollars de plus par mois que l’ancien président Jacob Zuma. En Afrique du Sud le salaires de tous les officiels ,y compris le Président de la Répulique est fixé par la The Independent Commission for the Remuneration of Public Office Bearers SOURCE :w w w thesouthafrican POINT com/news/ramaphosa-earn-more-president-zuma/ QUAND ENFIN SERA REALISEE la promesse de campagne:"MON SALAIRE SERA PUBLIE ET CONNU PAR TOUS"??? Le mensonge est érigé en methode de gestion de l' ETAT DE DROIT!!

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Tshiswaka @8DYO1TY   Message  - Publié le 25.09.2020 à 10:34
Felix est rattrapé par son inexpérience et celle de son entourage. Comment peuton imaginé un tel scénario enfantin d'accepter de se défaire de son allié principal comme Vital KAMERHE pour plaire à son entourage, je regrette le fait qu'il soit entouré par des bougres. La trahison devient de trop et il fallait repensé au changement de son entourage et gracié Vital pour éviter le pire. Un conseil pour lui, qu'il ne fasse pas la bêtise de trahir KABILA, il est plus dangereux que n'importe quel politicien au Congo, bien que silencieux mais il peut à tout moment créer la désolation. 2023 pour qu'il espere notre soutien, il doit être capable de se defaire de son entourage rempli des fetards aigris.

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kap @DR16Q1Y   Message  - Publié le 25.09.2020 à 08:59
LE DEAL, LA MAFIA ET LES INTÉRÊTS ÉGOÏSTES QUI CARACTÉRISENT KABILA ET FELIX. ILS ONT CHOISI DE CONDUIRE LA RDC A LA DÉRIVE.

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 25.09.2020 à 01:19
pour moi le fautif ce Tshilombo parce que ce son premier emploi en RDC,tandis que Kabila il a dejas prouvés son sérieux, il avait signés les accords avec les autres comme Bemba et le MLC,Muzito et le PALU,il avait respecter tout les accords dans le passé et travailler en toute intelligence avec Badibanga et Tshibala donc ce Tshilombo qui sèment le bazar en RDC avec l'UDPS a la différence des autres ,pourquoi Kabila ne respecterez pas seulement les accords avec l'UDPS comme avec les autres ? il a accepter de quitter le pouvoir

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 25.09.2020 à 01:10
Tshilombo ne dirige PLUS qu'une moitié de la RDC,il ne peut plus aller a l'Est comme a GOMA il ne peut plus aller à Butembo,Beni et tout ces territoires si il cherche la confrontation il lui resteras quoi ? FAYULU avec les kinois et le bandundu vont se cabrés si une partie du Katanga ou la totalité décide de ne plus rester sous sa présidence,il partira en courant en Belgique son pays

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 25.09.2020 à 01:03
le problème ce Tshisekedi qui n'as pas le respect de la parole donnée comme Kabila,kabila a toujours respecter sa signature comme avec le MLC en 2006 Bemba vice président ,puis avec le Palu Muzito premier ministre,puis les accords de la saint sylvestres avec Badibanga et Tshibala premiers ministres,il a toujours sue partager le pouvoir quand ce nécessaire ce qui ne pas le cas de Tshilombo qui veut la part de lion en utilisant la ruse avec son parti l'UDPS

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 24.09.2020 à 21:52
(suite). vouloir des ministères est légitime , mais pour en faire quoi et faire quoi? à caser ses cousins, ou membres du parti ou un intéret crucial pour le peuple ? Libala ya bana ékufaka te cdà les enfents sont les résultats. De la meme manière dans une coalition, on doit avoir des objectifs clairs.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 24.09.2020 à 21:50
(suite) ètaient mauvais, en oubliant qu'il faut du temps, arrosement, et soins du sol. Nous imitons des actes,ou nous impose des actes sans comprendre la finalité ultime, le bien etre du peuple. Alors l'avenir de la coalition dépend de l'exposition sincère de la vision du pays, sur le plan économique,sociale, politique , sécuritaire. Là ou il y'a divergence le peuple doit savoir de quoi il s'agit, de quel projet il s'agit. Si un parti veut attaquer le Rwanda, l'autre non,alors mettre en discussion le ministère de la Dèfense par exemple a un sens ,et le peuple doit savoir cela. vouloir des ministères est légitime , mais pour en faire quoi et faire quoi? à caser ses cousins, ou membres du parti ou un intéret crucial pour le peuple ?

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 24.09.2020 à 21:43
(suite) mais aucune vision du pays, des masses , des pauvres. Malgré, sécessions , guerres, misères eecc, des évévenements qui devaient, qui doivent pousser les politiciens au dépassement de soi, discuter de l'avenir de ce pays , qu'ils n'avaient meme pas fondé, peut etre por cela ils s'en foute, ils discutent des choses écritent noir sur blanc dans la constitution et les attributions. Nos politiciens ne savent pas qu'il faut planter un arbre, le soigner, l'arroser pour voir le fruit. Ils font le contraire, ils gettent les grains sous sol, si le lendemain ils ne voient rien pousser, ils enlevent la terre, le grain sous sol, puis ils disent les grains ètaient mauvais, en oubliant qu'il faut du temps, arrosement, et soins du sol. Nous imitons des actes,ou nous impose des actes sans comprendre la finalité ultime, le bien etre du peuple.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 24.09.2020 à 21:39
(suite) A l'école ou dans la rue nous avons entendu , yo oza makaku. Alors le singe, fait partie de la lignè de l'homme, donc notre cousin. Mais il est aussi l'animal qui passe son temps à bouger, manger,surtout imiter l'homme, on peut lui enseigner aussi quelque chose. Mais il a la mémoire d'ardoise, donc il faut répèter la meme chose plusieur fois. Alors nous congolais, du moins nos politiciens sont comme çà, Ils peuvent signer des accords, le jour après on èfface l'ardoise , on ne se souvient de rien, on bouge, on s'agite, on cri à gauche et à droite, on va à l'université, on montre des titres accadémiques eecc, mais aucune vision du pays, des masses , des pauvres. Malgré, sécessions , guerres, misères eecc, des évévenements qui devaient, qui doivent pousser les politiciens au depassement du soi, discuter de l'avenir de ce pays , qu'ils n'avaient meme pas fondé, peut etre por cela, ils discutent des choses écritent noir sur blanc dans la constitution et ses attributions. Nos politiciens ne savent pas qu'il faut planter un arbre, le soigner, l'arroser pour voir le fruit. Ils font le contraire, ils gettent les grains sous sol, si le lendemain ils ne voient...

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 24.09.2020 à 21:37
La question est bien posée, mais les acteurs, y compri le journaliste, sont ils conscient de quoi nous parlons ? En Israel, comme en Belgique ou Allemagne, les coalitions sont monnaies courentes, et ces pays avancent, ils affrontent les progrès èconomiques , technologiques, sociales, mais nous en sommes nous capables ? NON, parceque à nos dirigeants ou à certains pensent au pouvoir sans aucun projet économique, voir meme une visione du pays. Le singe un animal bien connu, et partout, sur tous les continents. Mais pourquoi, seulement aux Africains ou Congolais en particulier, le mot makaku est si important ? A l'école ou dans la rue nous avons entendu , yo oza makaku?. Alors le singe, fait partie de la lignè de l'homme, donc notre cousin. Mais il est aussi l'animal qui passe son temps à bouger, manger,surtout imiter l'homme, on peut lui enseigner aussi quelque chose. Mais il a la mémoire d'ardoise, donc il faut répèter la meme chose plusieur fois. Alors nous congolais, du moins nos politiciens sont comme çà, Ils peuvent signer des accords, le jour après on èfface l'ardoise , on ne se souvient de rien, on bouge, on s'agite, on cri à gauche et à droite, on va à...

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BOT95PARIS @NIN7L19   Message  - Publié le 24.09.2020 à 20:02
EST CE QUE MANDEFU AYEBI KO NAGER ???

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Linon @477Y1R1   Message  - Publié le 24.09.2020 à 19:50
Quelle alliance avec quel peuple pour un parti politique mono tribu? Ce parti politique où les combattants frappent même les ministres issus de ses rangs parce qu'ils n'ont pas obéi à leurs désiderata? Le peuple d'abord ou ma tribu d'abord? Si vous avez signé un deal avec quelqu'un, vous êtes tenus au respect de toutes les clauses contractuelles si vous n'êtes pas un escroc. Ne rien pas contracter si on n'est pas capable de respecter, c'est être honnête.

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J'aime mon pays la R @6Z2XTJ3   Message  - Publié le 24.09.2020 à 19:47
On ne cessera jamais de le clamer : KANAMBE doit aller en exil. Il gène la nation. Son temps est déjà révolu. Tout ce qui le préoccupe c'est détruire le Congo pour protéger ses biens mal-acquis et fuir de probables sanctions internationales, en vue, contre lui et sa famille politique FCC. Pensez-vous que KANAMBE restera éternellement impuni pour toutes satrocités commises contre le peuple? Dieu est Juste. On finit toujours par récolter ce qu'on sème FATSHI doit aussi apprendre que dans la vie, il ne faut jamais devenir avocat du diable pour un pouvoir piégé . Rien ne jamais sincère en Kanambe. C'est un manipulateur très maléfique qui détruit tout à son passage pour se cacher de la CPI.

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Salima @TTYVYQL   Message  - Publié le 24.09.2020 à 19:27
Mariage incestueux plutôt!

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TJB @26JI5QT   Message  - Publié le 24.09.2020 à 19:23
Félix est capable d'avoir acté le fait de céder le pouvoir à son allié après son premier mandat,il l'avait déjà fait avec Vital Khamere L'objectif 2023,ça se décidera au moins 2 ans avant Les milices de Kingabwa et bien d'autres choses prouvent que Félix ou ses proches seraient prêt à aller jusqu'au bout JKK ne serait-t-il plus un homme averti? 2023 serait le dernier mandat pour Félix si il est élu,je ne pense pas que JKK,au vu de son encore relatif jeune âge ne puisse pas attendre 2028 pour revenir Nul ne connait les accords des uns et des autres,les enjeux,les réalités invisibles Malheur au perdant Wait and see.

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Le sage @SD3Y66Q   Message  - Publié le 24.09.2020 à 18:06
Benoit kangoma, ka tambour, tu es un bon taliban tambourineur! Kokamwa eeee. Tu vois un seigneur battre campagne pour son vassal? Sa creature?

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Josephe KABILA @X44GU1E   Message  - Publié le 24.09.2020 à 18:05
Dans la vie ne jamais faire une aliance avec un muluba car ce dernier cherche toujours la part du lion, mais dans le cas actuel Kabila est le gagnant car le vrais resultat demontre la victoire de Fayulu et du FATSHI est en position de faiblesse s'il ose déjouer il va recevoir une balle à la tête

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Benoit kangoma @DL8NMG7   Message  - Publié le 24.09.2020 à 17:33
Vouloir ou pas jkk restera le directeur de campagne de fatshi en 2023 si non il sera livrer a la cpi par son dieu qui le protege fatshi le grand buldozer de la diplomatie congolaise, merci.

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Passy @E1IISY6   Message  - Publié le 24.09.2020 à 17:16
Nous sommes les spectateurs et suivons cette situation de près jusqu'à ce que toute la vérité sur le deal cach/fcc soit dévoilée au public y compris la vérité des urnes de l'élection présidentielle, kala mingi te makambu ebele ebombana ekobima, wait and see.

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Le sage @SD3Y66Q   Message  - Publié le 24.09.2020 à 17:04
Un mariage contre nature ne peut qu'accoucher d'un monstre. Normal non? Il faut y mettre fin pour ne pas devoir accoucher plus de monstres. Vous accouplez une chèvre avec un chien et vous voulez que la chèvre accouche d'une autre chèvre? NON, impossible: c'est contre nature.

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LE GLAS des imposteu @1XVY75Q   Message  - Publié le 24.09.2020 à 16:58
TSHISEKEDI KATA YA MANDEFU WANA.

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who can save us @Z131H8R   Message  - Publié le 24.09.2020 à 16:47
La vraie alliance c'est avec le peuple ; raison pour laquelle le parti de Nelson Mandela est toujours au pouvoir

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Conscience Nationale @NJT5VCM   Message  - Publié le 24.09.2020 à 16:44
Peu importe l'alliance que UNC va faire même avec le FCC La plus grande alliance restera celle avec le peuple!

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