Ouvrages
Résumé :
La violence sur le stade de football correspond à des gestes techniques à caractère brutal ou à des provocations verbales. Exercée sur un joueur, elle peut avoir pour but de freiner son action ou d’instabiliser son rôle thématique, impliquant une sorte de faire faire à un sujet : la réaction de Z. Zidane, expulsé du terrain en 2006 à la suite de son coup de tête en réponse à une provocation, manifeste un anti-programme. Or, en tant qu’opération visant à transformer localement le monde, la violence dans le football n’atteint pas toujours son but. Ses effets sont incertains.
À sa potentialité performative (effets possibles) doivent correspondre les modalités de sa réception (effets réels). À partir des propositions de Landowski, l’article propose quatre régimes de réaction à l’action violente (affirmation, repli, confrontation et subordination) susceptibles de gérer les tensions dans ce type d’interaction (https://www.unilim.fr/actes-semiotiques/7249).
Les plus commentés
Société Justice : l'ancien vice-ministre des Hydrocarbures condamné à 20 ans de prison
17.04.2024, 14 commentairesPolitique Spéculation autour du rôle de Maman Marthe : « Elle incarne la vision prophétique du parti, UDPS, devant guidé l’action politique du Président de la République. » ( Lisanga Bonganga)
19.04.2024, 14 commentairesEconomie Acquisition de concession arable à Brazza par le Rwanda : une arme de destruction économique aux portes de Kinshasa (Analyse d'André-Alain Atundu)
18.04.2024, 11 commentairesPolitique Insécurité au Nord-Kivu : la Belgique s’oppose à l’idée de revoir les frontières congolaises sous prétexte d’une médiation
17.04.2024, 9 commentaires
Ils nous font confiance