Omnia in bonum - 13.04.2018 - Le mieux dans pareille circonstance est de privilégier dans la mesure du possible le bien-être des citoyens, sans brader sa souveraineté. On ne peut pas objectivement refuser une aide au détriment du bien-être même partiel et insuffisant, si l'on n'est pas en mesure de proposer une alternative, au nom d'un bras de fer que l'on veut entretenir. Je pense que la coopération multilatérale ne répond forcément pas aux mêmes logiques que celle bilatérale et que le jusqu'au-boutisme devrait tenter de se déployer dans le champ bilatéral. D'un autre côté ces aides de quelque nature que ce soit, laissent généralement un arrière goût qui pousse à s'interroger sur leur "essentialité", sans nier en bloc leur nécessité dans le contexte qui est le nôtre...