Salima - 09.08.2018 - Après avoir joué à Alibaba et les 40 voleurs, l'homme K nourrit plein d'espoir. Que les occidentaux vont le laisser devenir l'homme d'affaires -blanchisseur des capitaux mal acquis qu'il rêve être en échange de céder son fauteuil de dictateur et ainsi eux se repositionner geostrategiquement au Congo où les chinois ont une maimise grandissante. Mais, il a affaire à 2 grands revanchards de tous les temps: l'Église catholique qu'il vient de ridiculiser et l'oncle Sam avec l'assassinat sauvage d'un des ses citoyens au Kasai. C'est un guet-apent où l'on finit toujours très mal.