Anonyme - 04.09.2018 - la Cour constitutionnel doit aussi voir le cas de Shadarry.En effet,l'Union européenne, qui l'a inscrit sur une liste de sanctions le 29 mai 2017, le considère comme responsable des récentes arrestations de militants et de membres de l'opposition et de l'usage disproportionné de la force depuis sa nomination, comme l'action violente contre les membres du Nouveau Mouvement religieux Bundu dia Kongo (BDK) fondé en 1969 dans le centre du Congo, la répression à Kinshasa en janvier et février 2017 et l'usage disproportionné de la force et la répression violente dans la province du Kasaï. Dans cette fonction, il est donc impliqué dans la planification, le contrôle ou la commission d'actions qui constituent des violations graves des droits de l'homme1