Me Alain Lumony - 17.09.2018 - Que fait-on de l'engagement de décrisper la vie politique, pris dans l'Accord de la Saint-Sylvestre ? Pourquoi en a-t-on parlé dans cet Accord, s'il ne fallait que tirer rigoureusement les conséquences de décisions des instances judiciaires soient-elles nationales ou internationales ? Par cet engagement à la décrispation, qui prévoit entre autres la libération de prisonniers dits politiques ou d'opinion, n'a t-on pas admis, pour nécessité politique, que l'on devrait infléchir l'application de certaines normes pour un intérêt supérieur que l'on a identifié : "l'apaisement du climat politique"?