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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 08 avril 2024
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Prof. Dr.Robert KIKIDI - 18.01.2019 - NE JAMAIS TRAHIR LE CONGO : Héritage idéologique et politique de Patrice Emery Lumumba et de Mzee Laurent Désiré Kabila . Par l’Evangéliste Prof. Dr .Robert KIKIDI MBOSO KAMA,Président de l’Afrique-Sante,asbl et de l’Union des Intellectuels Lumumbistes Retenu de Patrice Emery Lumumba A. SA BREVE BIOGRAPHIE IL est né le 2 juillet 1925 à Onalua , Kasaï-Oriental (RDC) et mort assassiné le 17 janvier 1961 au Katanga(RDC) .IL est le Premier Ministre de la République démocratique du Congo de juin à septembre 1960. Il est, avec Joseph Kasa-Vubu, l'une des principales figures de l'indépendance du Congo -Kinshasa. Patrice Emery Lumumba (Lomumba) est l’UN des premiers « Grand Héros Nationaux et Panafricains». Il a en effet été assassiné par des responsables de l'État du Katanga avec la complicité de la sûreté de l'État belge, puissance coloniale du Congo, et des services secrets (CIA) des États-Unis ,une erreur et un crime que la peuple congolais attend la réparation par l’appui de ces puissances à une politique de la démocratique véritable en Afrique. B. Le combat E.P LUMUMBA pour l'indépendance En 1956, il est président de l'Association des évolués de Stanley ville. C'est précisément à cette époque que le gouvernement belge prend quelques mesures de libéralisation : syndicats et partis politiques vont être autorisés en vue des élections municipales qui doivent avoir lieu en 1957. Les partis politiques congolais sont parrainés par ceux de Belgique et Lumumba, classé pro-belge par ses discours et ses rapports avec les libéraux belges, est inclus dans l’amicale libérale. En 1958, à l'occasion de l’Exposition Universelle de Bruxelles, première du genre après la guerre et qui a un grand retentissement dans le monde, des Congolais sont invités en Belgique, dont Patrice Lumumba. Mécontent de l'image paternaliste peu flatteuse du peuple congolais présentée par l'exposition, Lumumba se détache des libéraux et, avec quelques compagnons politiques, noue des contacts avec les cercles anticolonialistes de Bruxelles. Dès son retour au Congo, il crée le Mouvement national congolais (MNC), à Léopoldville le 5 octobre 1958 et, à ce titre, participe à la conférence panafricaine d’Accra. De retour au Congo, il organise une réunion pour rendre compte de cette conférence et il y revendique l'indépendance devant plus de 10 000 personnes. Premiers démêlés politiques en octobre 1959 : le MNC et d'autres partis indépendantistes notamment le Parti Solidaire africain(PSA) de Sylvain KAMA KIKIDI(Gigidi) et l’ABACO de Joseph KASA-VUBU organisent une réunion à Stanley ville (KISANGANI) et à Léopoldville (KINSHASA). Malgré un fort soutien populaire, les autorités belges tentent de s'emparer de Lumumba, ce qui provoque une émeute qui fait une trentaine de morts. Lumumba est arrêté quelques jours plus tard, jugé en janvier 1960 et condamné à 6 mois de prison le 21 janvier. En même temps, les autorités belges organisent des réunions avec les indépendantistes. Une table ronde réunissant les principaux représentants de l'opinion congolaise a lieu à Bruxelles, et Lumumba est libéré en toute hâte le 26 janvier pour y participer. Alors qu'il espérait profiter des tendances contradictoires d'un ensemble hétéroclite, le gouvernement belge se trouve confronté à un front uni des représentants congolais et, à la surprise de ceux-ci, accorde immédiatement au Congo l'indépendance, qui est fixée au 30 juin 1960. Des élections générales, les premières dans l'histoire du Congo encore belge, ont lieu en mai 1960.Le Mouvement National Congolais (MNC) de Patrice Lumumba remporte le plus de voix avec PSA et les autres Partis Politiques alliés bloc Nationalistes et pro lumumbistes. Le leader Bas-Kongo Joseph Kasa-Vubu, triomphant surtout dans la région de Léopoldville, prête serment comme président de la république et avalise aussi tôt la nomination de Lumumba comme premier ministre, conformément au prescrit de la nouvelle constitution qui attribue ce poste au candidat du parti ayant remporté le plus de voix. Le 30 juin, lors de la cérémonie d'accession à l'indépendance du pays, Lumumba -qui a définitivement largué les libéraux et qui s'est entouré de conseillers étrangers de gauche- prononce un discours virulent dénonçant les abus de la politique coloniale belge depuis 1885. Durci par l'expérience de son arrestation, et, face à la surenchère anti belge d'une partie de la presse internationale, il prend le contrepied de la politique modérée de ses débuts telle qu'on peut la découvrir dans son livre. Au lieu de s'adresser au roi des Belges présent à la cérémonie, et qui venait de prononcer un discours paternaliste convenu avec le président Kasa-Vubu, Lumumba commence son allocution par une salutation « aux Congolais et Congolaises, aux combattants de l'indépendance. » Son discours, qui doit lui permettre de l'emporter sur le président Kasa-Vubu dans l'opinion des Congolais politisés, proclame vivement que l'indépendance marque la fin de l'exploitation et de la discrimination et le début d'une ère nouvelle de paix, de justice sociale et de libertés. Le Roi Baudouin veut-il se retirer et regagner Bruxelles. Mais le premier ministre belge Gaston Eyskens parvient à l'en dissuader et, le soir même, lors d'un banquet réunissant hommes politiques congolais et belges, Patrice Lumumba s'efforce de rectifier le mal que ses paroles ont pu provoquer en prononçant ce discours dans lequel il évoque un avenir de coopération belgo-congolaise. C. Son Héritage idéologique et politique En, le 22 avril 1959. "La masse est beaucoup plus révolutionnaire que nous. Quand nous sommes avec la masse, c'est la masse même qui nous pousse, elle voudrait aller beaucoup plus rapidement que nous." (La pensée politique de Lumumba, p.45). Lumumba a juré de rester du côté du peuple. "Je ne vise pas du tout mon intérêt personnel mais seulement l'intérêt supérieur du pays. Le gouvernement belge veut se retirer de la scène politique congolaise mais entend remettre la gestion du Congo dans les mains des leaders ayant toutes ses sympathies. Je n'ai pas la sympathie du gouvernement belge, pas plus que celle d'autres milieux officiels. Je suis considéré comme un homme dangereux parce que je refuse de me laisser corrompre. Je puis vous dire qui si j'avais accepté de "jouer le jeu", comme l'ont fait certains leaders congolais opportunistes, je serais aujourd'hui soutenu par la Belgique et considéré comme son plus grand ami. On veut créer un gouvernement de marionnettes mais on craint aussi la réaction populaire. Au train où nous allons, il n'y aura pas le moindre changement dans ce pays à la date de l'indépendance et les Congolais auront l'impression d'être dupés. On aura alors le choc en retour, et alors que les leaders seront satisfaits des quelques portefeuilles que la Belgique leur aura confiés, ce sera le peuple qui fera sa révolution." (Pourquoi Pas, juin 1960 pp.) "Les ministres doivent manger avec le peuple." "Le Patrimoine national nous appartient. Nous-mêmes, les ministres, nous allons dans les milieux ruraux, nous allons labourer la terre pour montrer au pays comment nous devons faire nos coopérative. Nous ne voudrons jamais tromper le peuple et le peuple sait très bien que depuis nous sommes au pouvoir aucun ministre a été payé. Nous mangeons avec le peuple, nous n'avons pas besoin d'argent (conférence de presse 9 août, cite dans "Congo 1960", "Les ministres doivent vivre avec le peuple. Nous ne devons pas passer aux yeux de la population comme les remplaçants des colonialistes.» "Nous voulons une vraie indépendance." "Nous allons mettre tous nos travailleurs au travail, après le départ des troupes belges. Chacun aura du travail, avec des salariés modestes. Et je vous assure, qu'avec notre foi, avec notre dynamisme, avec notre fierté nationale, le Congo sera dans cinq ans un pays fortement développé. Ce n'est pas en mendiant des capitaux que nous allons développer le pays. Mais en travaillant nous-mêmes, avec nos propres mains, par nos efforts (é) le seul slogan pour le moment: le progrès économique, tout le monde au travail, mobiliser toute la jeunesse, toutes nos femmes, toutes les énergies du pays. Les cadeaux, on n'apprécie pas. L'indépendance cadeau, ce n'est pas une bonne indépendance. L'indépendance conquise est la vraie indépendance.” (Conférence de presse 9 août, cite dans "Congo 1960, 2, pp 593-594) "La Banque centrale belge s'est accaparée non seulement de notre argent, mais également de nos réserves d'or..; Le gouvernement vient d'annoncer que, si dans un délai de 15 jours le Gouvernement belge ne les restituait pas, nous confisquerons tous les biens appartenant aux Belges. Le people attend le bonheur, l'amélioration de ses conditions de vie. Pour nous, il n'y a pas d'indépendance tant que nous n'aurons pas une économie nationale prospère pour relever les conditions de vie de nos frères.” « Le Congo obtiendra son autonomie dans la dignité et non dans la barbarie. Ce serait commettre un acte de la plus grande barbarie, du banditisme que de sacrifier des vies humaines, nos membres de famille qui nous sont chers, pour la soif de l'indépendance." (Le Congo, terre d'avenir, est-il menacé?, Patrice Lumumba, pp.162-163. 1. Héritage idéologique et politique de Mzee Laurent Désiré Kabila : A. SA BREVE BIOGRAPHIE Laurent-Désiré Kabila est un Grand homme politique nationaliste congolais. Engagé à partir des années 1960 contre le régime de Mobutu, il parvint finalement à renverser ce dernier en 1997. Laurent-Désiré Kabila est né le 27 novembre 1939 à Moba (ex-Baudoin ville), de père Désiré Kabila Taratibu Obashikilwe, fonctionnaire des PTT ressortissant de Ankoro, une localité de la tribu Luba dans le Nord du Katanga, et de mère Jeannine Mafik Mwad Kanambuj a Mubol, de la tribu Rund, dans le Sud du Katanga. Le jeune Kabila a fait ses études primaires et secondaires à Jadotville même et était amoureux de sports et de la musique; il savait jouer de la guitare et composait des chansons. Il fut 3è Président de la République Démocratique du Congo 27 mai 1997 jusqu’à son assassinat, le 16 janvier 2001 à Kinshasa. Il était surnommé Mzee, le vieux, le sage en swahili. Mzee Laurent-Désiré Kabila est comme Patrice Émery Lumumba le «Grand héros national ». À sa mort, son fils le Général Major Joseph Kabila est désigné pour lui succéder. B. Son combat contre la dictature Après ses études secondaires, Mzee Laurent-Désiré Kabila se rend à Paris. Sa lutte politique remonte au début des années 1960 comme jeune nationaliste et Lumumbiste et jure à sa mère d’être un autre Lumumba qu’on a assassiné chez nous à Elisabeth- ville(Lubumbashi). Il fait son entrée en politique à 21 ans, en militant au sein de la Jeunesse de "Balubakat’’, le parti de Jason Sendwe, qui rassemblait les Baluba du Katanga (tribu majoritaire de la province du Katanga) pour contrer les velléités sécessionnistes de la Conakat (Confédération nationale du Katanga) de Moise Tshombe. Servi par une belle maîtrise de la langue française qu’il manie avec une verve oratoire admirée de ses amis et compagnons de lutte, Kabila est reconnu comme un intellectuel radical, séduisant, mobilisateur, formant et persuadant des milliers de jeunes. Sendwe le nomme à la tête de la jeunesse du parti. Dans le ‘‘Gouvernement démocratique de la province du Lualaba au Nord-Katanga’’ formé en 1961, Kabila occupe des fonctions importantes de directeur provincial, puis de chef de cabinet au ministère de l’Information et de Télécommunications. A ce titre, il présente de nombreux ‘‘billets politiques’’ à la radio. Féru d’information, il collabore au journal appelé ‘‘Petit Figaro du Nord-Katanga’’, et plus tard créera son journal ‘‘L’Etincelle’’, organe révolutionnaire dans les cités communistes. Il est fait député au sein de ce gouvernement provincial en 1962. Il rallie le Conseil National de Libération (CNL) créé le 3 octobre 1963 par les ‘‘nationalistes’’ lumumbistes Christophe Gbenye et Gaston Soumialot. Dans le ‘‘gouvernement provisoire du CNL-Est’’ installé à Albertville (Kalemie) le 27 juillet 1964, Kabila est vice-président chargé des Relations et du Commerce extérieurs ; et dans le ‘‘Conseil Suprême de la Révolution’’ créé le 6 août 1965 par Soumialot pour tenter d’intégrer toutes les rébellions (et contrecarrer Gbenye), le très jeune Kabila (il a alors 26 ans) est vice-président en sa qualité de commandant suprême du front Est (Kivu et Katanga), tandis que Abdoulaye Yerodia est nommé président du comité exécutif du Conseil , Sylvain Kama Kikidi occupe avec Antoine Gizenga le front de Nord (Kisangani et Equateur )et Pierre Mulele ainsi que Gabriel Yumbu le Front de l’Ouest( les 2 Kasaï, et Léopoldville ou Congo Central). Son intense activité révolutionnaire ainsi que ses fonctions au sein du gouvernement, comme au sein de son mouvement, amènent Kabila à effectuer de nombreux voyages et séjours de formation à l’étranger, essentiellement dans les pays socialistes africains, asiatiques et européens : Tanzanie, Angola, Egypte, Tchécoslovaquie, Yougoslavie, Union soviétique, Chine, etc. A travers la Tanzanie, il bénéficie d’un important soutien de la Chine. Son combat lui attire la sympathie du révolutionnaire cubain, Che Guevara, qui démissionne de son poste ministériel pour venir soutenir son combat contre l'impérialisme. Persuadé que l’appui extérieur ne peut jamais suffire, Kabila exerce des activités de commerce d’or pour obtenir les moyens d’organiser le maquis et de soutenir son combat de libération. En janvier 1967, Kabila se distancie du CNL qui était infiltré, crée le Parti de la Révolution Populaire (PRP) au retour d’un séjour de formation en Chine, et conserve la vision lumumbiste. Le parti se veut marxiste-léniniste, privilégiant la lutte armée (par rapport à la lutte politique, pacifique) pour ‘‘libérer le Congo du régime meurtrier et despotique de Mobutu’’. Sur le plan idéologique, Kabila est moins proche de Soumialot que de Mulele et de Che Guevara, D’août 1960 à janvier 1961, il lutte contre la gendarmerie katangaise dans les rangs de la jeunesse du Parti Balubakat (Jeubakat). Jason Sendwé, chef de la Balubakat, remarque ses talents d’orateur et le nomme « colonel » des jeunesses, des Balubakat au Katanga. Ces partisans se rallient à la révolution déclenchée par les forces lumumbistes et Mulelistes en 1964 et se transforment en une force révolutionnaire contre la Dictature du Président Joseph Désiré Mobutu. Le maquis de Mzee Laurent-Désiré Kabila parvient à se maintenir pendant une trentaine d’années. Il ne dépasse pas les limites d’un territoire exigu et est relativement toléré par le régime mobutiste. Après l'effondrement de celui-ci en 1985, il aurait été dans l'entourage d'un autre Révolutionnaire, John Garang, chef du plus important maquis soudanais. Résidant principalement à Dar es-Salaam, et fait aussi de navettes à Kampala, en Ouganda, où il entretient des liens amicaux avec le Président Yoweri Museveni. Pendant la longue fameuse « transition démocratique à la zaïroise (1990-1996), ni lui, ni le parti qu'il a fondé en 1967 dans les maquis du Kivu, le Parti de la révolution populaire, ni le Président de l’Union des Intellectuels Lumumbistes le Prof Dr. Robert Kikidi Kama son correspondant en Russie ne participent à la Conférence nationale souveraine qui amena le Zaïre vers la IIIe République et qu'il considérera toujours comme une institution « à la solde de Mobutu ». Durant la guerre du Congo ,il se place à la tête de l’AFDL. Mobutu Sese Seko est renversé en 17 mai 1997. Après la fuite du dictateur, il est proclamé Président de la République Démocratique du Congo. Mzee Laurent-Désiré Kabila n'avait jamais accepté d’être Zaïrois, comme aussi tous les vrais nationalistes qui combattaient la dictature sanguinaire et de mauvais goût de Mobutu ,et à ce titre ,il gomme tout rappel à cette dénomination née en 1971 par décision de son prédécesseur : Mzee Laurent-Désiré Kabila réinstaure la dignité congolaise, le pays retrouve son appellation suite à son indépendance de 1960, le fleuve est à nouveau rebaptisé Congo, le Franc congolais se substitue à la monnaie Zaïre, l'hymne du pays, la devise sont changés. C. Son Héritage idéologique et politique Mzee Laurent-Désiré Kabila: «Je dois vous assurer que je suis un soldat du Peuple: je ferai mon devoir jusqu'à mon dernier jour. Je veux que mon pays soit totalement libre. Et, en tout cas, un pays moderne qui se développe. Où sur le plan social, nos villages doivent être transformés». Voici le dernier discours du Feu M'zée Laurent Désiré Kabila, Président de la République et héros national, considéré comme son testament au peuple congolais. « Mes chers compatriotes, Ce premier jour de l’an 2001, m’offre l’occasion de vous adresser mes très vives et sincères félicitations à vous tous mes compatriotes, pour la résistance active que vous avez menée, tout au long de l’année écoulée contre les agresseurs de la République Démocratique du Congo. Je relève donc votre glorieuse et opiniâtre résistance qui a permis à la nation de n’être occupée, ni totalement ni entièrement, par les agresseurs et esclavagistes rwandais, ougandais et burundais. Que chacun d’entre vous trouve ici l’expression de ma profonde gratitude, pour les sacrifices immenses consentis et sans lesquels, les fossoyeurs de notre pays auraient pu déjà ouvrir une brèche au sein de notre peuple, pour nous entraîner irréversiblement dans l’ornière d’humiliation, d’assujettissement et exploitation systématique et malheureux. Fort heureusement, vous avez défait et triomphé des intentions de ceux qui, au loin, n’ont cessé de porter régulièrement secours à nos agresseurs. La nation aurait pu faire mieux n’eût été, d’une part, en raison des visées de nos agresseurs, les agissements ignobles des nôtres qui ne pouvaient assouvir leurs appétits de pouvoir que par ce biais et, de l’autre, le comportement antipatriotique de ceux des Congolais qui avaient choisi de diaboliser le gouvernement de leur propre pays, auprès de la communauté internationale, escomptant obtenir ainsi un appui total, pour leur parachutage dans les structures du pouvoir d’Etat. Je suis convaincu qu’à la fin de l’an 2000, au début du 21ème siècle et au premier jour du troisième millénaire, nos efforts vont tendre à chasser du territoire national les envahisseurs qui, du reste, ne nous veulent nullement du bien. Ces agresseurs ont assassiné plus de 2.300.000 Congolais et ont élu littéralement domicile dans nos mines d’or et de diamant, dans nos plantations de café et de cacao, dans nos parcs, dans nos forêts et nos bois. Ainsi, ces rapaces confirment, au fil des jours, ce que nous savions déjà et que nous n’avons jamais cessé de clamer haut et fort, toujours et partout. Ils mènent, à la fois une guerre de rapine, une guerre économique, une guerre de tentative de balkanisation de notre pays. C’est pour chasser ce cauchemar de démembrement de notre nation, que je vous convie, filles et fils du grand Congo démocratique, à une résistance encore plus active et à une lutte, sans merci, contre nos ennemis, jusqu’au jour où nous recouvrerons totalement l’intégrité territoriale, l’indépendance nationale, et la souveraineté internationale de notre pays. Pour atteindre ce noble et légitime objectif, la République Démocratique du Congo a besoin de sa cohésion interne, sans la moindre fissure. Ce dont les anti-régimes, devant le danger que court pourtant la mère patrie, ne veulent nullement comprendre. Mes chers compatriotes, Nous sommes, malgré tout, confiant de pouvoir surmonter nos difficultés économiques conjoncturelles, au cours de cette année 2001, avant d’entreprendre enfin une marche fulgurante, pour la reconstruction de notre pays. Aussi malgré les vicissitudes graves que vit notre pays, nous restons plus que jamais confiants, en l’avenir de notre patrie. La République Démocratique du Congo est un pays choisi par Dieu et le plan divin se réalisera totalement sur cette terre africaine du Congo démocratique, quelle que soient les tentatives humaines intérieures et extérieures. A toutes et à tous, je souhaite mes vœux de bonheur, de prospérité et d’engagement patriotique, en vue de la libération totale de notre pays. «BONANA». Que vive la Patrie »! Mais , au lieu de suivre la voie tracé par ces deux grands Héros Nationaux qui nous ont fait preuve qu’ ils 2TAIENT les nationalistes et lumumbistes, aujourd’hui FORT EST DE CONSTATER QU’ on est parti de Lumumbiste au Lumumbisant , de Nationaliste au Nationalisant. C’EST LE CHAOS OU LA MEDIOCRITE QUI SEVIT AU PAYS ET TOUT SEMBLE DEVOUE A LA DEGRDATION ,A LA MALGOUVERNANCE ? AU COMBINE , AUX ARRAGEMENTS EPHEMERES, DES NEGOCIATIONS AUX NEGOCIATIONS , DES LOIS AUX LOIS DE LA TRANSITION A LA TRANSITION , DU GOUVERNEMENT AU GOUVERNEMENT , SANS MANDAT DU PEUPLE POUR QUI CES DEUX HOROS ONT PAYE LE PRIX LE PLUS FORT . Conclusion : Mzee L.D.KABILA : « La République Démocratique du Congo est un pays choisi par Dieu et le plan divin se réalisera totalement sur cette terre africaine du Congo démocratique, quelle que soient les tentatives humaines intérieures et extérieures. » Joseph Kabila Kabange : « En dépit de toutes les tentatives de la balkanisation de notre cher pays, la République Démocratique du Congo reste Un et Indivisible ». Que le Seigneur Jésus qui a un plan merveilleux pour la République Démocratique du Congo vous donne le courage de son Héritage et ceux nous légué par les Grands Héros Nationaux et Panafricains à savoir ne jamais trahir le Congo. ET travaillons et apportant à notre Très Cher Président de l’appui pour la paix et la modernisation de notre très Chère Nation la RDC. Evangéliste Prof Dr. Robert KIKIDI MBOSO KAMA,Ph.D. , Président de l’Afrique sante et de l’Union des Intellectuels Lumumbistes.

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