Hama - 01.10.2019 - Quand on inscrit dans son agenda lors d'un voyage officiel de plaider pour la levée des sanctions qui frappent des gens ont violé les droits de l'homme, est-on un chef qui peut mériter d'être aimé et soutenu. Le chef a-t-il consulté la base pour savoir si elle a le même avis que lui concernant les crimes commis par le régime précédent? Et s'il ne veut pas fouiner dans ce passé, sur quelle base entend-il déboulonner l'ancien système?