Pour le Congo - 12.04.2020 - (suite) bref, s'il a droit de déclarer l'état d'urgence après consultation avec les présidents des deux chambres parlementaires, l'article 145 l'oblige à soumettre les mesures d'application de l'état d'urgence au conseil de ministres pour approbation collégiale, puis à la cour constitutionnelle pour vérification de la constitutionnalité et au parlement pour les transformer en lois. Mais comme la dictacture semble être son mode de gestion préféré, il fait du aux procédures.