BAOBAB - 17.04.2020 - La confiance n’exclut pas le contrôle. Le Président devait contrôler, par des mécanismes légaux et connus , les sorties des fonds et leur affectation. C’est tout à fait logique. Comme le Dircab VK était l’ordonnateur principal des dépenses, l’on devait lui mettre en face une structure de contrôle et d’audit pour équilibrer aux fins d’atténuer les abus éventuels. C’est ça de la transparence et de la bonne gestion.