Salima - 13.05.2020 - J'ai connu la pauvre Belly (paix à son âme et très attristée qu'elle ait été enterrée en angleterre vues les circonstances de la pandémie). Elle s'est trouvée comme au dit dans le langage de criminologie au mauvais endroit et mauvais moment. Belly est britannique et était à son lieu de travail en interface directe avec le public. La personne qui leur a craché dessus, elle et sa collègue (toutes deux apparemment des noires), peut bien être de ces milles individus, souvent dérangés mentalement et dorment dans la rue, et ccelui-ci est sûrement de surcroît raciste ou rendu raciste par la pandémie. C'est la réaction naturelle des faibles partout. On a vu cela en chine récemment. Quant à l'action du gouvernement britannique, tout ici est réglementé. De 1) les funérailles ont été aux frais totales de l'état. (2) La dame travaillait dans une compagnie de transport de l'état et ainsi assujettie à un syndicat qui protège ses intérêts et donc suit son dossier y compris une investigation des circonstances de son agression avec intention de la contaminer (idem pour sa collègue qui elle aussi a été infectée). L'action sera d'établir qu'elle était ce que l'on appelle en angleterre ' a victim of a crime' et ainsi sa famille obtiendra une compensation d'un organisme appelé Victims of Crime Compensation Authority. Le gouvernement britannique a aussi instauré le paiement de 60 milles livres (80000$US) aux travailleurs de santé qui travaillent à l'interface du public et il y a clameur de partout que cela soit étendu à tout le monde qui travaille ainsi et le cas Belly ajoute une pression sur cela.