Salima - 20.05.2020 - @Serge Mputu, je te connais assez maintenant pour te mettre à ta place. De (1), dans la diaspora active et non active que nous sommes, personne à ce que je sache, est impérialiste ou marxiste etc. Ça, ce sont des conversations dans des bouches des individus comme toi, généralement des individus aux rêves initiales ratées. Tu disais, il y a un temps, tu avais été de ceux que kyungu wa kumwanza et Cie avaient tabassé et traumatisé au katanga. Tu as fui de là, traumatisé. Tu es parti en exil en 1994 (apparemment au même moment que les tutsi se faisaient massacrer de l'autre côté, au Rwanda voisin. Tu es entré en Angola, puis en Namibie pour aller en Afrique du Sud. Ce cheminement, tu as dit, t'a rendu marxiste (très bête). Si moi, je suis passé par l'Angola et fournit des services à MPLA là dans ses plusieurs rencontres internationales, surtout lors des festivités du 1er mai organisés par UNTA de Pasoal Luvualu, je n'en suis pas devenu marxiste, c'est étonnant de voir toi une espèce de voyageur illégal n'ayant jamais approché les gens ni les officines du pour dans ces pays te convertirait au marxisme. Tu as échoué d'embarquer de l'Afrique du Sud pour les terres impérialiste ms d'Europe et tu as fini par repartir au Congo où tu t'es mis à te débrouiller, comme tu m'as dit. D(2), ça fait donc partie de la débrouille ce que tu fais ici. Tu es potentiellement payé pour écrire pour la propagande des camarades marxistes-socialistes de l'afdl/pprd/fcc qui ne sont point marxistes ni socialistes au vu de la clochardisation de la population au long de 30 ans passés. Ce sont plutôt des capitalistes-imperialistes comme en Angola et partout ailleurs. Tu ajoutes bien sûr ton activité de Pasteur, barbe grasse et fournie, du type dit en latin " barbam esqualentem", grosse tête luba chauve, l'air toujours religieusement envoûté débutant à quelques pauvres damnés de la terres des enseignements d'entre enfer et ciel. Si tu es réellement luba, ça n'étonnera point, car vagabonder bible en main a aussi un créneau luba ' Nzambe malamu' quand le diamant tarit au village.