la perspicacité - 24.06.2020 - Contrairement à ce qui se raconte, Aubin Minaku indique qu'aucune disposition de ces propositions de loi donne au ministre de la Justice le pouvoir de nommer, de révoquer ou de suspendre les magistrats. Nulle part aussi, martèle-t-il, il est dit que le ministre de la Justice aura le pouvoir de bloquer le cours d'une instruction prejurictionnelle.