Constructif - 02.07.2020 - Lorsqu'un magistrat se permet d'arrêter un député national qui a initié une motion de défiance sous prétexte d'une infraction flagrante dont on ne parle plus, lorsqu'un magistrat se permet de fermer le parlement sous l'instigation d'une tendance politique fautive, lorsqu'un magistrat se permet d'interpeller un ministre sans l'autorisation exigée par la Constitution et l'article 4 de la loi sur la répression des infractions flagrantes, LA REFORME S'IMPOSE.