JUSTICIER - 23.10.2020 - Dès le 2 janvier, alors que les chiffres commencent à remonter massivement et que les noms de Fayulu et Lamuka reviennent comme une chanson entêtante, les communiqués et tweets des ambassadeurs occidentaux mais aussi des instances régionales (Union africaine en tête) se multiplient pour demander “que les résultats qui seront proclamés soient conformes au vote du peuple congolais”.
Les évêques congolais commencent à communiquer. Ils ont les résultats. Sans donner de nom, ils expliquent que le vainqueur dispose d’une belle avance et qu’il ne peut plus être rattrapé.