Mampuya - 02.02.2021 - Le problème n'est pas le nom du premier ministre, mais autre chose. Il faut avant tout comprendre ce que dit notre constitution sur les attributions du pouvoir d'un prèmier ministre. secundo bien comprendre pourquoi le prémier ministre a quitté son poste, au delà , de la motion. L'accusation de tshilombo était générique, la constitution ne donne aucun pouvoir particulier au prémier ministre, surtout dans une coallition. Suivant les accusations de bloccage de tshilombo, le prémier ministre doit etre lui meme , si pas son clone. Un premier ministre doit maitriser l'état des finances du pays, avec ses ministres économiques. Nos finances ne dèpendent pas des nos facteurs internes, mais surtout ceux externes. Voilà pourquoi dans des pays sérieux,le changement d'un premier ministre ,d'un ministre des finances, ou du gouverneur de la banque est suivie avec intéret, voir meme en bourse. Donc nous sommes en train de jouer avec l'avenir èconomique du pays. Ainsi si vous avez un Président avec son cabinet privé qui annonce des mésures contraire à la géstion des finances comme actuellement, il n'y'aura que du bloccage selon lui. Le Président ne produit pas l'argent,meme en Corée du nord, mais le gouvernement. La Présidence est lieu des dèpenses, mais pas de production de l'argent. La Présidence, avec le prémier ministre devrait etre les lieux de production de la richesse, ce que Tshilombo n'est pas en mesure de faire.