NKANSHAMA - 03.03.2021 - Merci à la CENCO pour sa constance. Le blanc reste blanc, le noir reste noir, que ce soit dans le regime de Kabila ou de Félix. Il n' y a que nous la population qui sommes roulés par les politiciens pour suivre comme des moutons de panurge. Violer la constitution était condamnable pendant le regime de Kabila, cela n'est pas vrai dans le regime de Fatshi. Tenir des propos discourtois à l'endroit du président Joseph était de la liberté d'expression. Aujourd'hui chanter l'ingratitude sans citer un seul nom devient une infraction. Et nous le peuple nous applaudissons. ATTENTION, la dictature s'installe souvent avec la complicité du peuple. A bon entendeur...