Jean Jacques Bukasa - 02.06.2021 - @MAMPUYA : Je crois que tu es en train de faire une terrible soupe en mélangeant les choses ; ou tu le fait consciemment pour embrouiller les esprits et le débat comme d’habitude par esprit de contradiction pour tout ce que tu crois faussement arranger tes ennemis jurés, ou tu fais semblant de ne pas comprendre le bien fondé des prémisses qui sont posées dans la proposition qui est sur la table et qui n’est en fait que le rétablissement de ce qui a été malicieusement retiré de la Constitution à Sun City pour asseoir un plan en marche de contrôle du Congo . Laisses-moi t’ expliquer de façon simple en me mettant dans la peau de ceux qui sont a tort considérés comme les victimes de cette disposition pour ne pas me corrompre : Si je me retrouvais aujourd’hui blanc, métis, indien ou chinois Sud-Africain devant la loi passée au parlement pour une action affirmative qui fait que dans l’attribution des emplois les noirs Sud-Africains ont priorité par rapport aux autres races pour rectifier les déséquilibres du passé, j’aurais crié haut et fort « Racisme » si j’avais un petit esprit, et dans notre cas « au mauvais esprit », pourtant beaucoup parmi ceux qui ont votés cette loi se retrouvent ces autres races. Ça, c’est pour dire qu’il faut toujours avoir le courage de protéger ce qui est votre dans ce monde des rapaces sans tergiverser et les autres vous rejoindrons par respect car une fois que les émotions se seront épuisées, on se rendra compte tout était bien normal et la meilleure chose à faire pour un pays encore plus fort. Cette loi en Afrique du Sud n’a pas créé des petits citoyens frustrés dans un pays à majorité noir mais bien au contraire, elle a remis de l’ordre pour que les gens travaillent en paix et se concentrent à l’essentiel.