Jean Jacques Bukasa - 03.07.2021 - Vous êtes de mauvaise foi monsieur car le message était bien passé pour ceux qui avaient avaient suivi le débat depuis de la France et avaient des cerveaux pour comprendre ce que le président avait dit. Comme notre compatriote ici l’a bien dit , au moment où tout le monde ne sait à quel vent se vouer en ce moment médecins, politiciens, riches et pauvres, personne, oui personne ne peut imposer quoi que ce soit à qui que ce soit. Il fallait donc mettre quelconque vaccin de fortune à la disposition de ceux qui le voulaient malgré les mises en garde informelles par-ci par-là et laisser ceux qui n’en voulaient pas tranquille. Le président est aussi un homme comme nous tous devant des informations et une situation qui se déballent devant nous au même moment que nous l’apprenons tous dans le monde, et aussi pendant que nous savons tous que nous sommes devant des essais. Vous n’allez pas chercher à nous convaincre ici que personne ne savait que le président ne s’était pas encore vacciné, que celui qui voulait le suivre avait bien la liberté de le faire et que s’il l’avait fait il l’aurait fait publiquement. Nous sommes bien tous devant notre propre choix, le soi-disant vaccin est la et chacun doit faire son choix. Epargnez-nous donc de ce mauvais esprit de contradiction et de vouloir quelque chose et son contraire car vous seriez le premier à crier sur tous les toits au nom des droits humains si ce vaccin n’était même pas arrivé ici. Faites quelque chose de plus productif, nourrissez les écoliers par exemple et mettez les mains dans la patte au lieu de faire le plus facile comme les paresseux le font aussi, c’est-à-dire toujours pointer du doigt et penser que l’on travaille ; ce qui est l’opposé de ce que le peuple Chinois travailleur fait.