ALI BOND - 26.04.2017 - Pour être aussi incostant et parler sans honte devant les caméras, je parie qu'il prend du chanvre. Car je ne vois pas où un homme normal tirerait le courage de se contredire comme ça. Ce revirement spectaculaire de Bonganga ne me surprends pas du tout, je savais qu'il ne tiendrait pas longtemps. Au contarie je suis étonné qu'il ait mis du temps à rejoindre Olenga, Mokia et compagnie, tous parlant une autre langue que celle de Molière.