Mampuya - 27.01.2023 - La réponse à cette question se trouve dans ce blog, aujourd'hui même là où l'on de la position américaine. Il y'a une phrase où l'on parle "des conditions réunies pour des élections équitables ". Pour la médiocrité de l'intelligentsia congolaise, "le respect du délai constitutionnel " est devenu le mantra à répétition. Or il y'a des préalables qui sont beaucoup plus importantes que le délai en soit. Lorsque la base d'un processus est biaise', c'est comme construire une belle maison sur du sable . Quel intérêt aurait un président à gouverner un pays diviser.? L'enfantillage du politicien congolais est de fuir ses responsabilités. Un député, un gouverneur, malgré l'autonomie que lui donne la constitution, refuse de s'assumer, il veut que le Président de la République assume ses prérogatives, que lui-même. Un pont construit à Kinshasa ou en province, une ruelle arrangements arrangée à Kinshasa ou en province, devient vision du chef de l'état, comment peut-on alors demander aux forces politiques de penser à d'autres postes. L'intelligentsia congolaise ,comme ce Kimp de cet article rend un mauvais service, en cautionnant le mal et les mauvaises pratiques de la politique et politiciens. Déjà la démocratie est mise à mal en Occident, pourquoi pas chez nous ? Si demain, un parti politique va saisir une cour constitutionnelle au service du pays, tout le processus va etre annuler.