Il n'est pas au pouvoir de l'homme qui marche de diriger ses pas.

(Jérémie 10. 23)

Par l'Éternel les pas de l'homme sont affermis, et il prend plaisir à sa voie: s'il tombe, il ne sera pas entièrement abattu; car l'Éternel lui soutient la main.

(Psaume 37. 23, 24)

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Ça y est, nous voyons le bout de cette année. Plus que quelques pas et nous y serons. Quelques pas qui s'ajouteront à tous ceux faits jusqu'ici, tout au long de ces mois écoulés. Quelles empreintes auront-ils laissées? Il y a certainement parmi eux des faux-pas. Une erreur, une tromperie, un (petit!) mensonge… Une faute qui nous met face à la justice des hommes, une désobéissance à Dieu…
Mais il faut avancer, encore et toujours, un pas après l'autre. Peut-être n'en manque-t-il qu'un pour avoir le courage de se réconcilier avec un collègue, un voisin, son conjoint; pour atteindre un objectif rêvé de longue date; pour se décider à rendre visite à cette personne en difficulté; pour renoncer à une addiction. Peut-être au contraire qu'un seul pas de plus nous ferait aller trop loin, aurait des conséquences irréversibles…
Peut-être ne manque-t-il qu'un pas vers la fin de notre vie sur la terre, parce que l'âge est là, ou que la santé n'est plus là.
Peut-être ne manque-t-il qu'un pas pour aller vers Dieu… Un pas de foi, c'est-à-dire de confiance en son amour, manifesté dans le sacrifice de Jésus Christ, mort pour nos péchés; un pas de confiance dans ses promesses. Un pas de foi, un tout petit pas, mais qui nous ouvrira de grands horizons: une vie avec Jésus pour être en relation avec Dieu connu comme un Père, dès maintenant et éternellement!
Quel pas est-ce que je vais faire aujourd'hui?
(La bonne semence)