Il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après cela le jugement.

Hébreux 9. 27

Il n’y a… maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus.

Romains 8. 1

La porte de l’éternité

Personne n’échappe à la perspective de la mort. La Bible la définit très simplement comme “le salaire du péché” (Romains 6. 23). Elle nous apprend pourquoi tous les hommes passent par la mort : “car tous ont péché”. Elle précise aussi qu’après la mort, vient le jugement (verset du jour). Dans ce sens, la mort nous approche comme un huissier qui vient nous remettre une assignation à comparaître devant un tribunal. Cette perspective ne devrait-elle pas nous inciter à nous mettre, sans délai, en règle avec Dieu ? Car chacun a, envers Dieu, une dette si lourde qu’il ne peut l’acquitter.

Cette dette, Jésus Christ est venu la payer à notre place. Sur la croix, il a subi le jugement que je méritais. Si je crois à la valeur de son sacrifice, Dieu me fait grâce : quittance définitive que je pourrai présenter à l’huissier qui frappe à la porte. Il est donc urgent de la posséder avant la mort, et surtout de ne pas mépriser ce don de Dieu.

Sans cette lettre de grâce, il me faudra comparaître devant le Juge suprême pour y répondre de mes péchés, et l’entendre prononcer ma condamnation.

Pour le croyant, la mort est comme une porte du ciel qui le conduit près de Jésus. Son corps est déposé en terre en attendant la résurrection, mais son âme est introduite dans le paradis, dans la présence du bon Berger, qui a pris soin de lui durant sa vie.

Le croyant n’attend pourtant pas la mort, mais Jésus lui-même, qui va bientôt venir chercher les siens. Vivons cette attente, en pensant à sa joie quand il rassemblera enfin ceux qu’il a aimés et libérés.(La Bonne semence)