Qui devrons-nous blâmer à TSHANGU ?
Les autorités qui sont censés faire le suivi des travaux de finissage de saut-de-mouton et de ses corollaires, Afritec qui a l'air de travailler comme des escargots ou Safricas que nous croyions vite finir des travaux de TSHANGU. Le peuple commando de l'Est de Kinshasa, se posent mille et une question : "A quand la fin des travaux de saut-de-mouton et ses annexes ?".
C'est la énième fois que nous alertons les autorités du danger que représente le gouverneur de la ville de Kinshasa à vouloir révolter les habitants de TSHANGU à travers des embouteillages. Ils a donné les ordres à ce que les travaux soient ralentis le plus possible à TSHANGU afin d'amener les compatriotes de ce coin à exploser. Nous sommes contraints de citer des noms cette fois-ci car, trop, c'est trop. Les embouteillages commencent dès 5 heures du matin parce que les bétons de séparations tardent à finir, les endroits où tout est complètement terminé, Afritec et Safricas laissent les débris de bétons, les piquets rouge-blanc trainer dans la voie ; empêchant ainsi les véhicules à prendre une allure convenable.
Dans des pays sérieux, ces travaux se font aux heures creuses des nuits et, le matin, tout est dégagé ! Pourquoi Gentiny Ngobila ne veut-il pas évoluer dans sa coordination de la ville ? Que cache-t-il réellement dans ces atermoiements ?
Que lui et tous les autres pprdistes, Katumbistes et médiocres qui nous ont géré près de 20 dernières années ; qu'ils fassent très attention. A la première occasion qu'ils vont allumer le feu à Kinshasa par TSHANGU, ce serait l'heure de la nage qu'a prôné JMK.
Que Gentiny Ngobila sache qu'être cadre n'est pas un privilège mais plutôt une charge. S'il n'arrive pas à suivre les travaux pour qu'ils finissent, QU'IL DEMISSIONNE SIMPLEMENT...