Il n’y a de salut en aucun autre [que Jésus] ; car il n’y a pas non plus sous le ciel d’autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés.

Actes 4. 12

Le chemin, c’est une personne
Le pilote d’un avion militaire survole l’immense forêt impénétrable du Vietnam. Subitement le moteur ralentit et s’arrête complètement. Aussitôt, le pilote s’éjecte de l’appareil et ouvre son parachute. À l’atterrissage, celui-ci reste accroché aux branches d’un arbre. Ainsi suspendu, il n’arrive pas à se dégager… Soudain un bruit ! Un habitant de cette région isolée, qui a aperçu l’accident, pénètre dans les fourrés et le libère de cette situation désespérée. Enfin sur ses pieds, le pilote regarde autour de lui, mais aucune issue n’apparaît. Il fait comprendre à son sauveteur qu’il doit trouver un chemin. Comment sortir de cette forêt ? L’homme lui montre qu’il n’y a pas de route, et que c’est lui qui ouvre le chemin ! Sans dire un mot, il se fraye un passage avec son coupe-coupe. Le pilote le suit avec confiance et sort ainsi de la jungle.

N’est-ce pas là une illustration de notre situation ? Nous nous sommes éloignés de Dieu, et nous sommes incapables, par nos propres forces, de retourner à notre Créateur. Jésus Christ vient alors à notre rencontre et nous dit : “Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie. Personne ne vient au Père si ce n’est par moi” (Jean 14. 6). Jésus seul peut nous délivrer, nous sauver et nous amener à Dieu. Lui faisons-nous confiance pour le suivre ? Jésus dit à son disciple Pierre : “Toi, suis-moi” (Jean 21. 23).

“Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).

(La Bonne semence)