Un homme ne pourra en aucune manière racheter son frère, ni donner à Dieu sa rançon (car précieux est le rachat de leur âme, et il faut qu’il y renonce à jamais), afin qu’il vive encore, à toujours.

Psaume 49. 7-9

… La vie éternelle que Dieu, qui ne peut mentir, a promise.

Tite 1. 2

L’aide extérieure

“J’ai gagné beaucoup de batailles dans ma vie, mais j’ai mis beaucoup de temps à me faire à l’idée qu’on a beau gagner des batailles, on ne peut pas gagner la guerre. Pour que l’homme puisse y parvenir un jour, il nous faudrait une aide extérieure, et celle-ci n’est pas encore à l’horizon” (Romain Gary – 1914-1980). Cet écrivain français évoquait sa lutte contre une maladie. Mais a-t-il trouvé la véritable aide extérieure pour la dernière des batailles ?

L’auteur du Psaume 49 nous dit que l’homme ne peut rien faire pour éviter, à la fin de sa vie, d’être mis dans le tombeau. Mais il ajoute : “Dieu rachètera mon âme de la puissance du séjour des morts, car il me prendra” (v. 15). Ainsi, il affirme avoir trouvé l’aide extérieure : Dieu lui-même !

Le patriarche Job évoque la mort comme issue de sa terrible maladie. Il a cependant une certitude : même si son corps doit être détruit, il connaît Celui qui va l’aider. Plein de foi, il déclare : “Je sais que mon rédempteur est vivant” et “je verrai Dieu” (Job 19. 25, 26).

L’apôtre Paul a connu dans sa vie des événements dramatiques (lapidation, naufrage, prison…), mais à la fin, quand il va comparaître devant l’empereur de Rome, il écrit : “Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise et me conservera pour son royaume céleste” (2 Timothée 4. 18). Dans tous les dangers, il avait reçu une aide extérieure qu’il appelle “le secours qui vient de Dieu” (Actes 26. 22). De plus, il savait que le Seigneur Jésus lui avait réservé une place dans son royaume céleste.