PCR : les responsables appelés à punir des éléments récalcitrants

Autrefois combattues par les autorités en charge du transport dans la capitale, les tracasseries routières sur les artères de la ville de Kinshasa ont repris en force sur certaines artères. Les exemples les plus illustratifs sont ceux des environs de l’Hôtel des Postes, sur le boulevard du 30 juin, non loin de l’état-major de la Police de circulation routière et de l’avenue Poids Lourds dans sa jonction avec l’avenue Funa sur le rail à côté de l’ISTA, dans la commune de Barumbu.

Au niveau de l’Hôtel des postes, des tracasseries routières sont légions. Les plus malchanceux sont ensuite conduits au sous-commissariat qui se trouve non loin de cet endroit. Cette situation honteuse se déroule, sans doute, à un jet de pierre de l’état-major de la Police de circulation routière (PCR). 

Le second carrefour est celui de la bifurcation avenue Poids Lourds-Funa dans la commune de Barumbu. Des agents se présentant comme employés du Ministère des Transports et Voies de communication sont là pour tracasser chaque jour, les paisibles automobilistes empruntant ce tronçon. Dans ce croisement, les mêmes tracasseries de certains agents de la PCR, censés réguler la circulation, sont également signalées. Les automobilistes se plaignent. Ils se font interpeller à chaque instant par ces éléments de la PCR. 

Certains observateurs pensent qu’il était temps que le ministère des Transports puisse sévir contre ces agents qui ternissent l’image de la Police nationale congolaise. Ces éléments récalcitrants reviennent à de vieilles pratiques, jadis décriées par la population kinoise.