Société
Ils promettent de retourner dans la rue pour exiger le paiement du deuxième mois et les quinze (15) jours supplémentaires leurs dus. Les agents temporaires de la CENI (Commission Électorale Nationale Indépendante) de la première aire opérationnelle, puisque c’est d’eux qu’il s’agit, ne comptent pas baisser les bras tant qu’ils n’auront pas reçu gain de cause suite à leurs revendications, disent-ils.
Selon Shimi Ngalaso, représentant des agents temporaires de l’AO1, le délai accordé à la CENI pour régulariser leur situation est déjà passé depuis le mercredi 15 mars à 23h59′. Pour ce faire, il compte retourner dans les rues pour faire entendre leurs voix.
« Nous demandons à la communauté tant nationale qu’internationale d’être témoins, et nous promettons d’être dans la rue sur toute l’étendue de la première Aire Opérationnelle dans peu de temps afin de recouvrer nos droits », a-t-il dit à Actu7 CD.
Dans ce contexte, il appelle à l’apport de tous ces collègues pour la réussite de cet événement futur.
« J’appelle tous les agents temporaires de la première aire opérationnelle à la mobilisation », a conclu Shimi Ngalaso d’un ton ferme.
Lundi, la marche de ces agents temporaires, interdite plus tôt par l’hôtel de ville, a été soldée par des arrestations de certains d’entre eux. Une forte mobilisation policière avait été déployée aux abords de la direction générale de la Centrale électorale pour étouffer cette manifestation.
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