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Retour de Kabila : peut-on confier à nouveau le destin de la RDC à un régime qui a échoué ?

2025-01-13
13.01.2025
2025-01-13
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Joseph Kabila Kabange

Joseph Kabila et son régime ont gouverné la République Démocratique du Congo (RDC) pendant 18 ans, laissant un lourd héritage de violations des droits humains, de pauvreté généralisée et d’inefficacité économique. Sous son règne, des figures emblématiques des droits humains, comme Floribert Chebeya, ont été assassinées dans des conditions choquantes, après avoir dénoncé les abus du pouvoir en place (Human Rights Watch, 2011). Fidèle Bazana, son collaborateur, a disparu dans des circonstances jamais élucidées, renforçant le climat de peur et d’impunité. Ces actes ne sont pas des exceptions, mais plutôt les symptômes d’un régime dont les priorités étaient tournées vers le maintien du pouvoir plutôt que la protection de ses citoyens.

Sur le plan symbolique, les humiliations envers les figures de l’opposition témoignent de la nature oppressive du régime. La dépouille d’Étienne Tshisekedi, leader historique de l’opposition congolaise, est restée bloquée à Bruxelles pendant plus d’un an faute d’un accord avec le gouvernement de Kabila (France 24, 2019). Cet acte, perçu comme une tentative de nier l’héritage politique de Tshisekedi, symbolise l’absence de respect envers les institutions et les figures qui s’opposent à la volonté du pouvoir en place. Parallèlement, le pays a été marqué par une corruption institutionnalisée et un enrichissement illicite des proches du régime, tandis que des millions de Congolais vivaient dans des conditions précaires. Selon Nzongola-Ntalaja (2021), « la captation des richesses nationales par une élite restreinte a privé la majorité de la population de toute perspective de développement ».

L’échec du régime Kabila se mesure aussi par l’absence de progrès économiques et sociaux significatifs. Malgré les vastes ressources naturelles dont dispose la RDC, le pays a figuré parmi les plus pauvres du monde durant son mandat.

Les infrastructures sont restées sous-développées, l’éducation et la santé publique ont été négligées, et les promesses de développement économique sont restées lettre morte. Ce bilan catastrophique soulève une question cruciale : sur quelle base Joseph Kabila et son clan peuvent-ils prétendre avoir changé ou acquis la légitimité nécessaire pour diriger de nouveau la RDC ?

Les prétentions au retour : hypocrisie ou amnésie politique ?

La tentative de Joseph Kabila et de son clan de revenir sur la scène politique suscite des interrogations légitimes. Comment peuvent-ils prétendre apporter des solutions aux problèmes actuels du pays alors qu’ils n’ont pas su les résoudre lorsqu’ils étaient au pouvoir ? Cette posture révèle une forme d’amnésie politique, où les responsables des échecs passés espèrent faire table rase de leur bilan. Leur opposition à une révision constitutionnelle, présentée comme un geste de respect des institutions, pourrait tout aussi bien être une stratégie visant à regagner une partie de l’opinion publique.

Selon des observateurs, cette opposition à la révision constitutionnelle est moins une question de principe qu’une opportunité politique. L’idée de soumettre cette question au référendum pourrait être un moyen de démontrer leur respect pour la volonté populaire. Mais l’histoire a démontré que le régime de Kabila avait peu de considération pour la démocratie participative. Les élections retardées, les répressions violentes contre les manifestants et les détournements de processus électoraux en sont des preuves tangibles (Human Rights Watch, 2019). Dans ce contexte, leur posture actuelle semble davantage motivée par le calcul que par une véritable conversion aux principes démocratiques.

Le retour de Kabila pose également la question de la confiance. Après 18 ans d’échecs cumulés, quels arguments peuvent-ils présenter pour convaincre le peuple congolais qu’ils feront mieux cette fois-ci ? Le passé, en politique comme dans la vie, reste un puissant indicateur de l’avenir. Comme le note Nzongola-Ntalaja (2021), « l’incapacité à gérer les ressources naturelles et humaines de manière responsable a été la marque de fabrique de ce régime ».

Un peuple trahi, mais pas dupe

Les Congolais, après des décennies de mauvaise gouvernance et d’abus systématiques, ne sont ni naïfs ni oublieux des années sombres du régime Kabila. Le retour de cet ancien président, soutenu par des alliances politiques suspectes, ne peut se faire sans répondre à des questions cruciales. Pourquoi Joseph Kabila et son équipe n’ont-ils pas réalisé les réformes structurelles nécessaires durant leurs 18 années au pouvoir, alors qu’ils disposaient d’un contrôle quasi-total des institutions ?

Le peuple congolais aspire à un leadership qui priorise les besoins collectifs et respecte les principes de justice sociale. Cependant, les souvenirs du passé – marqués par la répression brutale, l’enrichissement illicite et le détournement des ressources naturelles – continuent de hanter la mémoire collective. Selon Nzongola-Ntalaja (2021), la gestion de Kabila a été marquée par une exploitation systématique des ressources nationales pour alimenter une oligarchie tout en laissant la majorité des Congolais dans la pauvreté extrême. La question centrale demeure : pourquoi une population ayant été autant marginalisée sous ce régime devrait-elle lui accorder une seconde chance ?

Par ailleurs, l’absence de mea culpa ou d’effort de réconciliation de la part de Kabila et de ses alliés alimente davantage la méfiance. Un retour au pouvoir sans répondre à ces préoccupations risquerait d’aggraver les tensions sociales et politiques dans un pays déjà fragilisé par des conflits internes et une crise économique persistante.

La question de la crédibilité et de la responsabilité politique

La crédibilité de tout dirigeant repose sur sa capacité à répondre aux aspirations de la population et à assumer la responsabilité de ses échecs. Dans le cas de Joseph Kabila, l’incapacité à établir une gouvernance transparente et efficace constitue un obstacle majeur à son retour. Selon Mukwege (2018), « les dirigeants africains doivent comprendre que la bonne gouvernance et le respect des droits humains ne sont pas des options, mais des obligations ».

De plus, l’absence d’une réforme significative du secteur judiciaire et sécuritaire sous son règne a contribué à l’impunité généralisée et à l’érosion de l’État de droit. Ce manque de volonté politique d’instaurer des institutions fortes et autonomes a non seulement perpétué la corruption, mais aussi alimenté l’instabilité. Kabila et son clan n’ont pas démontré qu’ils étaient capables d’offrir une alternative crédible à la gouvernance défaillante qu’ils incarnent.

Face à ces réalités, il est indispensable pour le peuple congolais de faire preuve de vigilance. La démocratie, bien qu’imparfaite en RDC, exige une rupture avec les pratiques rétrogrades du passé. Un retour de Joseph Kabila, sans garanties claires de changements structurels, équivaudrait à une régression.

Conclusion : Refuser le retour au passé, construire un avenir meilleur

Le retour de Joseph Kabila et de son régime ne représente pas une opportunité de redressement pour la République Démocratique du Congo, mais un risque de replonger le pays dans les travers du passé. Le peuple congolais a connu des décennies de souffrance, de pauvreté et de violations des droits humains sous son règne. Permettre à un tel régime de reprendre les rênes serait un affront aux aspirations profondes d’un peuple en quête de justice, de transparence et de progrès.

Comme l’affirme Mukwege (2018), « le futur de la RDC repose sur une rupture radicale avec les pratiques du passé ». Cette rupture ne peut être incarnée par des figures ayant failli dans leur mission de leadership. Dire non au retour de Kabila et de son régime, c’est dire oui à une RDC résolument tournée vers l’avenir, où le bien-être collectif prime sur les ambitions personnelles.

Les Congolais doivent saisir cette opportunité pour exiger des réformes profondes et soutenir des leaders visionnaires qui mettront en œuvre des politiques favorisant la prospérité partagée et l’inclusion. Le chemin est encore long, mais il commence par un refus catégorique de confier à nouveau le destin du pays à ceux qui l’ont trahi.

 

Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza
Vice-Président fédéral et Représentant Adjoint en charge de la Politique et de la Diplomatie Fédération des États-Unis d’Amérique, UDPS/Tshisekedi


Infos 27 / MCP, via mediacongo.net
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Shadow @FVE82ST   Message  - Publié le 14.01.2025 à 16:42
Milles fois KABILA que Fatshi nous sommes devant un president qui ne maitrise rien du tout! Kabila nous avait donné la paix à l'est. Mais les lubas nous divisent avec des discours haineux qui amène la population congolaise à la fragmentation

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Makunyi @D3OCQY2   Message  - Publié le 14.01.2025 à 10:40
MAIS QUI NOUS A AMENÉ DANS CETTE SITUATION? N'EST-CE KABILA? S'IL AIMAIT VRAIMENT CE PAYS, IL ORGANISERAIT LES ELECTIONS LIBRE EN 2018. MAIS LA POUR SES INTÉRÊTS A LUI, IL A MISE EN PLACE UN ORDRE POUR SE PROTÉGER AU DÉTRIMENT DU PEUPLE. IL RESTE PLUS DANGEREUX QUE FATSHI QUI NON PLUS N'EST JAMAIS A LA HAUTEUR DU CONGO

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KALUMBA @TR57OBY   Message  - Publié le 14.01.2025 à 05:20
Kabila est plus sage et intelligent que le livreur des pizzas qui etait nourri par sa femme sans adresse jusqu’aujourd’hui, sans certificat meme de l’ecole primaire. Kabila vient de terminer ses etudes, chose que Tshilombo n’osera jamais car son QI (Quotien Intellectuel) est trop faible. Incapable de terminer les etudes primaire.

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Anonyme @JUBWUC8   Message  - Publié le 13.01.2025 à 23:00
Très bonne analyse,notre pays n a pas besoin de voir Lumumba kasavubu mobutu Kabila père ,fils,ou même tshisekedi revenir nous avons besoin d' un nouveau leader ship qui apporterait un nouveau vent de revolution qui à son tour boostera le pays La grenouille n avance guère car elle regarde en arrière tout le temps

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 13.01.2025 à 21:00
Disons ceci pour ne pas fuir à nos responsabilités. Pourquoi en Europe, à chaque élection, voir même aux USA, les sondages ne donnent pas le même résultat ? Tout simplement, parceque l'intelligentsia et la classe politique n'ont pas les mêmes instruments et sentiments avec le peuple. Les électeurs regardent plus le panier de la ménagère dans leurs intimités que les mots d'ordres des leaders. Aujourd'hui aucun congolais est satisfait de sa situation sécuritaire, alimentaire, économique et sanitaire. Alors venir nous casser les pieds avec des arguments d'alors pour accabler Kabila. Mais pardon, le peuple Congolais est si idiot de rester cloué chebeya ? Quelqu'un a jamais vue une photo de Tshisekedi wa Mulumba dans son jardin, lorsque plus 90 % de la population vit de l'agriculture ? Un opposant de luxe et de salon.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 13.01.2025 à 20:48
Disons ceci pour ne pas fuir à nos responsabilités. Pourquoi en Europe, à chaque élection, voir même aux USA, les sondages ne donnent pas le même résultat ? Tout simplement, parceque l'intelligentsia et la classe politique n'ont pas les mêmes instruments et sentiments. Les électeurs regardent plus le panier de la ménagère dans leurs intimités que les mots d'ordres des leaders. Aujourd'hui aucun congolais est satisfait de sa situation sécuritaire, alimentaire, économique et sanitaire. Alors venir nous casser les pieds avec des arguments d'alors pour accabler Kabila. Mais pardon, le peuple Congolais est si idiot de rester cloué chebeya ? Quelqu'un a jamais vue une photo de Tshisekedi wa Mulumba dans son jardin, lorsque plus 90 % de la population vit de l'agriculture ? Un opposant de luxe et de salon.

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Raphaël Mbate @NOMWGVI   Message  - Publié le 13.01.2025 à 20:29
Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza Vice-Président fédéral et Représentant Adjoint en charge de la Politique et de la Diplomatie Fédération des États-Unis d’Amérique, UDPS/Tshisekedi Rien d'etonnant c'est un Kasaien qui écrit cet article ,malheureusement ,vous aussi vous ne respectez rien du tout votre regime est bati sur les promesses, laissez nous tranquilles croupir dans notre misère

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Meso Mbuaki @9KYSFK8   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:58
J’ai entendu dire qu’il donnait cours dans une université, il en a déjà marre des étudiants et des amphithéâtres ?

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Sango @A3SHTK4   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:52
Alors si le peuple congolais aime un changement dans ce pays vraiment , je suis là , je commencerais par l'enseignement forcé de 10 commandements de Dieu, en suite le foué à la mains pour tout congolais qui a le Q I en dessous de 50% à l'age de 15 ans pour les filles et 18 ans pour les garçons. et chaque congolais doit être recensé dans son village d'origine comme Joseph et Marie étaient parti se recenser à Bethléem en suite pour arriver dans la capitale il faut avoir une feuille de route vous autorisant ce déplacement plus le motif approuvé par l'autorité et accepté par celui qui vas vous recevoir, voilà en peu de lignes le plan de changement. Merci.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:50
Il fallait écrire cet article en Tshiluba. Franchement ça aurait été mieux. Ça donne à vomir écrit en Français, Swahili, kikongo,et lingala. Dégoûtant l'écrit et l'écrivant.

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Sango @A3SHTK4   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:49
Alors si le peuple congolais aime un changement dans ce pays vraiment , je suis là , je commencerais par l'enseignement forcé de 10 commandements de Dieu, en suite le foué à la mains pour tout congolais qui a le Q I en dessous de 50% à l'age de 15 ans pour les filles et 18 ans pour les garçons. et chaque congolais doit être recensé dans son ville d'origine comme Joseph et Marie étaient parti se recenser à Bethléem en suite pour arriver dans la capitale il faut avoir une feuille de route vous autorisant ce déplacement plus le motif approuvé par l'autorité et accepté par celui qui vas vous recevoir, voilà en peu de lignes le plan de changement. Merci.

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7777777777 @YYJZXMV   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:46
L'actuel a plus échoué que son prédécesseur

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gracedivine @XT3QU6M   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:38
NDOTO YA BABA PAR QUELLE MAGIE NOTRE FRERE JKK PEUT ENCORE RENTRER AU POUVOIR? IL DOIT RENDRE GLOIRE A DIEU DE L'AVOIR MENÉ A CE NIVEAU SANS AUCUN MERITE (VRAIMENT SANS AUCUN MERITE: NI DIPLOME D'UNIVERSITE, NI AVOIR SOUFFERT POUR LA RDC, SANS AUCUN PASSÉ POLITIQUE EN RDC) ET UN MATIN PRESIDENT PDT 18 ANS IL DOIT DIRE MERCI A DIEU ET SE CONTENTER DE CELA CAR PERSONNE N'OUBLIE CE QUE LE PAYS EST DEVENU MEME MOBUTU QUE NOUS AVONS DECRIÉ N'AVAIT BRADÉ LE PAYS A CE NIVEAU, NOUS N'AVONS PAS BESOIN DE REMUER LE COUTEAU DANS LA PLAIE, IL N'A QU'A NOUS LAISSER PLEURER NOS MORTS, ESSAYER DE RECUPERER QLQS CARRÉS MINIERS ET REORGANISER NOS FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE POUR LE RESTE DIEU SEUL SAIT MAIS S'IL OSE IL SORTIRA PAR LA PETITE PORTE

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Anonyme @VNZCQ3Q   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:35
Ici je réagi non pas à l’auteur du titre.

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AKIM @QM53M38   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:31
Peut-on espérer un changement à un celui qui était au pouvoir 18 ans durant??? Moi je doute très fort vraiment.

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AKIM @QM53M38   Message  - Publié le 13.01.2025 à 17:29
Peut-on espérer un changement à un celui qui était

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Sango @A3SHTK4   Message  - Publié le 13.01.2025 à 16:52
Mr, Cheribin Okende s'il faut citer que ce cas , les pillage de minerais , les détournement de Fonds de l'Etat à ciel ouvert, l'escroquerie de parcelles d'autres à kin et dans les provinces ,l’occupation du basin cuprifère de la société Gecamine , la vie de plus en plus dure de la population congolaise, l'escroquerie de prix sur les marché de kin, les transport sur la ville de kin, donc il faut être malade pour écrire l'article pareille en citant le nom de l'ancien président .

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PERICLES @NWI5312   Message  - Publié le 13.01.2025 à 16:28
Selon toi mr le journaliste, c'est à tshisekedi qu'on doit confier le pays n'est ce pas ? D'après moi, kabila est 10 fois mieux que votre tintin de l'udps, tshisekedi franchement ça ne vaut pas la peine.

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derekNk @71RJVQY   Message  - Publié le 13.01.2025 à 16:03
Qu'il rentre d'abord et il saura où devrait être sa place.

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Anonyme @4CQZTK3   Message  - Publié le 13.01.2025 à 15:59
Peut on confier la RDC a un parti d’irresponsables, de chômeurs, d’indisciplinés mais surtout de detourneurs. Ni Kabila, ni L’UDPS qui n’a démontré aucune aptitude morale, juste une bande de flatteurs, prêts à vendre leur savoir pour du fufu. Vous allez quitter ce pouvoir de force.

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