Provinces
C’est dans l’après-midi du weekend end dernier qu’a été projeté le film documentaire l’homme qui répare les femmes à la halle de l’étoile de Lubumbashi réalisé par Thierry Michel et collecte Braeckman.
Dans une salle pleine à craquée, les congolais de la place ont regardé le film en présence des dits réalisateur qui ont tant des réalisations sur la RDC. Une vidéo qui démontre souffrance et misère qu’on subit les habitants de la partie Est de la RDC, des images choquantes simulant plus d’émotions dans la salle.
Ce film-documentaire, qui se déguise en arme de lutte contre toute violence faite à la femme en révoltant certaines personnes et, un peu plus loin paralyse le moral de plus d’un participant.
Une nostalgie amère à la suite des images qui profilent un pays au sous-sol extrêmement riche déchiré par des troubles et conflits politiques. Après la projection, Thierry Michel et collecte Braeckman eurent un plaisir bien partagé en répondant aux inquiétudes de tous les participants, telles que : la non diffusion du film et d’autres scenarios ou difficultés dans sa réalisation. Pourquoi cet intitulé qui chosifie la femme « l’homme qui répare les femmes ».
« Les politiques ont toujours eu leurs manières de voir les choses, nous avions atteint le porte-parole du gouvernement Mr Lambert Mende en lui dévoilant noir sur blanc la faisabilité de l’œuvre, c’est après qu’il ordonnera la diffusion du film-documentaire sur l’étendu du pays. Justement nous avons connu des graves difficultés, fondamentalement pour que tous ces gens qui témoignent de leur triste quotidien pendant les troubles, ce n’était pas chose facile, ils avaient des sérieuses douleurs, d’autres parmi eux, ont égaré le gout de vivre, se sentant quasiment rejeter par la société, il faillait mettre plusieurs dispositions sur pieds pour les faire parler. Dans la vidéo nous avons tous vu comment le Dr. Mukwege a perdu espoir pour réparer toutes ses victimes. L’intitulé « l’homme qui répare les femmes n’à rien avoir de ce que nous pensons, d’ailleurs c’est l’intitulé de mon livre, c’est juste une comparaison cachée ».
Après Lubumbashi, les deux réalisateurs belges dont Thierry Michel et collecte Braeckman poursuivront leur série de projection sur le vaste du pays.
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