Jean Ping s’autoproclame président du Gabon !
2016-09-03
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03.09.2016 , Libreville
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Jean Ping, le principal candidat de l’opposition à l’élection présidentielle du 27 août au Gabon
« Le monde entier sait qui est le président de la République : c’est moi, Jean Ping », a affirmé, vendredi 2 septembre, l’adversaire d’Ali Bongo à la présidentielle gabonaise, lors d’une conférence de presse tenue à son domicile de Libreville. Il réclame un recomptage des voix bureau de vote par bureau de vote.
« En tant que président élu, je suis naturellement très préoccupé par la situation de notre pays qui évolue vers un chaos généralisé. Aussi j’en appelle à la responsabilité des uns et des autres, afin que le pays retrouve le chemin de l’apaisement », a dit Jean Ping lors de sa première prise de parole depuis la victoire annoncée d’Ali Bongo, le 31 août. Et d’ajouter : « Je sais que l’apaisement ne peut survenir que si la vérité des urnes (…) est rétablie et respectée sur la base du comptage des voix, bureau de vote par bureau de vote tel que nous le souhaitons. »
Il a rappelé qu’il s’agissait d’une exigence formulée par « le Conseil de sécurité des Nations unies, l’Union européenne, l’Union africaine, la France et les Etats-Unis ».
Le pouvoir gabonais refuse catégoriquement ce recomptage, invoquant la loi électorale du pays, qui ne prévoit pas une telle procédure.
Les leaders de l’opposition relâchés vendredi soir
Assis en bout de table, dans une allocution très solennelle, Jean Ping s’exprimait face à des partisans et des leaders de l’opposition relâchés peu de temps avant. Une vingtaine d’entre eux était retenue par les forces de l’ordre à son quartier général depuis jeudi matin. Ce dernier avait alors été pris d’assaut.
Après plus de 36 heures et une intervention de la France, les autorités gabonaises ont finalement autorisé ces leaders de l’opposition, dont un ancien vice-président et deux anciens ministres, à repartir vendredi soir.
Ils se sont alors rendus au domicile de M. Ping.
Ce dernier a remercié « solennellement nos amis de toujours à l’extérieur comme à l’intérieur du Gabon pour leur appui au renforcement de la démocratie dans notre pays ».
Les Gabonais ont voté le 27 août pour désigner leur président lors d’un scrutin à un tour. Mercredi en fin de journée, la commission électorale a annoncé la victoire du chef de l’Etat sortant, Ali Bongo Ondimba, avec 49,80 % des voix M. Ping (48,23 %).
Depuis l’annonce de la réélection de M. Bongo, le pays est en proie à des troubles ayant fait au moins cinq morts.
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moi je regrette pour ces soient en disant presidents africains et surtout UA , la fois derniere ils etaient dans une rencontre a kigali/rwanda pour parler des fitulites aulieu de parler de l'essentiel; Imaginez-vous un chef de l'UA qui ne parvient pas a demander aux executifs africains pourquoi ils changent des constitutions,sauf parler des accessoires PASSEPORTS DIPLOMATIQUES AFRICAINS
Je lisais un commentaire quelque part dans la presse française. On parlait de monsieur Jean Ping, alors Secrétaire Général de l'union africaine, et criant contre Bagbo en faveur de Ouattara qui pourtant n'avait pas gagné le vote ivoirien. On dit de lui Jean Ping et Ouattara être les poulains de Georges Sorros qui veut partout en Afrique les hommes et femmes de son réseau au pouvoir. (Et encore l'incident qu'un conseiller de Ouattara est allé au Gabon besogner pour Jean Ping ). Tout cela c'est pour dire que, tout en déplorant le ridicule d'Ali Bongo dans ses chiffres rocambolesques en haut ogoue, n'en déplaise que l'on se demande ce qui ne va pas avec ces ex fonctionnaires de l'union africaine, Eden Kodjo y compris .
C'est terrible ceux qui partent de l'union africaine et des systèmes des nations unies pour occuper tout pouvoir dans là politique et les banques partout en Afrique. On décrie Ali Bongo mais le système coloniaste avec les poulains de l'homme blanc éternellement le jockey sur l'homme noire son cheval qu'il conduit à ses caprices c'est à vous donner envie de tolérer la souffrance usuelle par le dictateur local.
Je lisais un commentaire quelque part dans la presse française. On parlait de monsieur Jean Ping, alors Secrétaire Général de l'union africaine, et criant contre Bagbo en faveur de Ouattara qui pourtant n'avait pas gagné le vote ivoirien. On dit de lui Jean Ping et Ouattara être les poulains de Georges Sorros qui veut partout en Afrique les hommes et femmes de son réseau au pouvoir. (Et encore l'incident qu'un conseiller de Ouattara est allé au Gabon besogner pour Jean Ping ). Tout cela c'est pour dire que, tout en déplorant le ridicule d'Ali Bongo dans ses chiffres rocambolesques en haut ogoue, n'en déplaise que l'on se demande ce qui ne va pas avec ces ex fonctionnaires de l'union africaine, Eden Kodjo y compris .
Tout le malheur de l'Afrique est porté par une classe dirigeante avide de pouvoir et d'argent. Nos dirigeants pillent les pays qu'ils dirigent et appauvrissent le peuple qui n'a que le droit de se taire alors qu'en démocratie la VOX POPULI est la seule vraie force d'un pays. La quasi totalité des élections en Afrique se terminent par le désordre car le pouvoir en place pour le conserver doit tricher et magouiller, c'est le cas de Bongo, d'Idris Deby, de Sassou, etc et de Kabila qui ne peut plus se presenter et qui organise l'impossibilité de l'état à organiser des élections. Tout cela se fait avec l'accord implicite de la communauté international et l'accord très actifs de l'UA car tous les pays sont concernés apr ces derives. Continuez comme ça vous allez réussir à embraser toute l'Afrique central!!
Ali Bongo, honte à vous, vilain dictateur, tricheur, escroc, comme tes autres semblables dictateurs africains : Sassou, Kanambe alias Kabila, Kagame, Museveni, Nkurunzinza, Mugabe, Biya, Obian nguema etc , jusqu'où irez-vous dans l'entêtement ?, .
Sachez- le que le peuple africain est devenu mûr au fil de temps
Pensez à partir dans la dignité, je sais vous êtes prêt à intimider, à empoisonner, à emprisonner, à assassiner et à massacrer pour rester au pouvoir
Mais croyez -moi, vous finirez mal
Au peuple Gabonais épris de démocratie, de liberté et de vérité, ne lâchez pas la pression sur ce voyou d'ami Bongo
Pour obtenir le départ de ce dictateur il faut de gros sacrifices et surtout il faut aller jusqu'au bout
Bon courage et sachez toute l'Afrique est derrière vous. INGETA , Nous vaincrons tous les voyous dictateurs africains
Etant donné la situation très tendue, mon Pays la RDC soutient les acquis démocratiques, dont l'élection et le respect de la loi. Vu que les choses s'empirent, une seule voie de sortie: le dialogue devant déboucher sur la démission de ALI BONGO ONDIMBA qui est le fauteur des troubles et tuent les gabonnais comme des chenilles. Les présidents africains, honte à vous!!!
Jean Ping, le principal candidat de l’opposition à l’élection présidentielle du 27 août au Gabon