Coupe du monde 2018 : ce que l’on retiendra

Trente-deux équipes. 64 matches joués sur 12 stades. 169 buts et un seul vainqueur : la France. Le 15 juillet, les Bleus ont été sacrés champions du monde de football, à l’issue d’une confrontation musclée face à la Croatie qui s’est soldée par un score de 4-2. Champions du monde, 20 ans après de leurs aînés en 1998. Retour sur les temps forts d’un mondial pour le moins surprenant.

Les champions et favoris dehors

Une chose est sûre : il ne faisait pas bon parier pendant ce Mondial. Si vous avez pronostiqué la victoire de l’Allemagne ou de l’Espagne, vous avez dû en avoir la preuve. Cette coupe 2018 a vu la défaite des plus grands (l’Allemagne, tenante du titre), mais aussi le départ des favoris (l’Espagne, championne en 2010). On n’oubliera pas non plus la débâcle du Brésil, nation du football par excellence et véritable vivier de talents (coucou Neymar), et celle de l’Argentine, Messi ou non.

La revanche des petites équipes

La compétition russe a toutefois été l’occasion pour des équipes plus discrètes de briller. Qui aurait pu imaginer au début du tournoi que la Croatie se retrouverait en finale ? Et que la Suède se hisserait jusqu’aux quarts ? Que de surprises, qui n’ont fait que rendre la compétition plus palpitante, pour un dénouement dont Français et Françaises se réjouissent encore. Les Bleus, champions du monde !