Société
Décédé le 1er février 2017, le leader historique de l'opposition politique congolaise, Étienne Tshisekedi wa Mulumba, totalise ce lundi 1er octobre 2018 vingt mois dans l'au-delà, soit une année et huit mois.
Sa dépouille, gardée dans un funérarium à Bruxelles, attend toujours d'être rapatriée en RDC pour y être inhumée. Mais aujourd'hui, curieusement, plus personne ne parle du retour du sphinx au pays. Ni gouvernement, ni famille politique, ni famille biologique. Tous les regards sont tournés vers les élections du 23 décembre 2018, avec les principaux sujets relatifs à la machine à voter, au nettoyage du fichier électoral, à une transition sans Kabila ou encore à la décrispation politique.
La tripartite mise sur pied (gouvernement-famille biologique-UDPS), dirigée à l'époque par Emmanuel Ramazani Shadary, alors vice-Premier ministre en charge de l'Intérieur, pour organiser ces obsèques, a accouché d'une souris.
Pour Mgr Mulumba, frère du défunt, et Augustin Kabuya de l'UDPS, le gouvernement a manifesté sa mauvaise foi concernant le rapatriement du corps d'Étienne Tshisekedi. Mais le vice-ministre de l'Intérieur, Basile Olongo Pongo, continue de rassurer que "le gouvernement se prépare pour organiser les obsèques d'Étienne Tshisekedi".
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