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Infos congo - Actualités Congo - 08 Mars 2024
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Politique

A la coalition FCC-CACH de prendre ses responsabilités !

2019-09-13
13.09.2019
2019-09-13
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Connu pour ses réflexions sur les enjeux existentiels auxquels fait face la RD Congo, l'analyste Jean-Pierre Kambila se livre à l'anatomie de l'adresse du chef de l'Etat à la Nation diffusée le 8 septembre dernier. Dans ce message, deux idées-forces : l'appel à l'unité et l'exhortation au changement de mentalités.

Pour ce cadre, il appartient à la coalition FCC-CACH de se mettre au travail en vue de traduire dans les faits le credo présidentiel. Mais, aux yeux de ce patriote - dont le cordon ombilical qui le lie à la vision de Patrice-Emery Lumumba demeure intact - il ne s'agit pas de construire ex nihilo. Les prédécesseurs de l'actuel président, au nombre desquels Joseph Kabila, ont déjà jeté les bases à la fois sur le front de la cohésion nationale et du changement.

Le paysage médiatique congolais et la sphère politique nationale toute entière ont été récemment dominés, que dis-je, écrasés par la prestation télévisée de Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République.

Quittant le style des discours classiques, sous le modèle d'un clip de haute facture, associant des images du locuteur à quelques illustrations évocatrices des situations du pays et sur fond d'une musique appropriée, le Chef de l'Etat nous a adressé, à tous, un important message qui ne saurait laisser le militant du progrès, que je demeure, sans réaction. Je prie ceux qui cherchent dans mes écrits la petite phrase qui pourrait m'opposer au partenaire privilégié de mon Chef J. Kabila, de renoncer, pour le temps de la lecture de ce texte, à cette quête de mauvais aloi. Dans ce texte, en toute liberté et dans le respect de chacun, je tente de replacer ce brillant discours dans le contexte général de l'histoire des idées politiques en RDC et je m'adresse aux élites de notre pays.

Permettez-moi de rappeler ici mon appartenance au PPRD et, donc au FCC ainsi que mon attachement à la coalition FCC/CACH.

Le Chef de l'Etat a parlé, nous l'avons écouté et entendu ; maintenant sentons-nous libre de l'accompagner, par des encouragements ou des critiques, chacun selon sa compréhension et ses convictions de la problématique générale de notre pays. Généralement très méfiant à l'égard des réseaux sociaux, qui ne sont pas le lieu des analyses les plus fouillées, équilibrées ou nuancées, j'ai été surpris, cette fois, par la diversité et la pertinence des réactions tant positives que négatives qu'on peut y lire en rapport avec le message sus-évoqué. Des suggestions ou critiques ont été nombreuses et fort intéressantes.

Dans la riche exhortation de ce début du mois de septembre, deux points, à mes yeux essentiels voire primordiaux, devraient être relevés. Il s'agit de l'appel à l'unité et l'encouragement au changement.

Je reproduis ici ma propre première réaction sur Twitter : "le message du Chef de l'Etat a été parfait, maintenant notons que les questions de l'unité et du changement sont des thèmes récurrents, et même permanents du discours politique congolais. La question reste, que vont faire, maintenant les cadres en charge de les mettre en pratique ? Il s'agit bien de vous et moi". Ainsi se résume mon état d'esprit après avoir plusieurs fois visionné le message.

L'UNITE NATIONALE

L'appel à l'unité me semble avoir été superbement présenté. La question de l'unité nationale représente un point sur lequel les Congolais sont unanimes depuis des lustres. Il faut se réjouir que l'actuel Président de la République ait jugé important de le rappeler comme il est utile d'attirer l'attention sur l'origine et le développement de l'idée. Cette question accompagne notre histoire contemporaine. Le Manifeste de la conscience africaine, publié en 1956, premier document rédigé par nos compatriotes et laissant entendre une volonté d'émancipation, s'exprima au nom de tous les Congolais, sans discrimination.

Plus tard, Joseph Kasa-Vubu et l'Abako qui avaient déclenché les émeutes de Kinshasa pour la libération en réclamant l'indépendance des Bakongo, se rallieront assez vite au courant nationaliste en provenance de Stanleyville à travers la personne de Patrice-Emery Lumumba. Manipulé un moment par le grand capital belge, Moïse Kapend Tshombe s'était, il est vrai, fourvoyé dans la sécession katangaise ; mais nul ne peut sérieusement nier les bons sentiments patriotiques que cet homme reprit dès son retour à Kinshasa, en 1964. Il n'est pas très utile de revenir sur la malheureuse tentative et la fin de l'initiative kalonjiste de séparer le Sud-Kasaï de la RDC, là aussi l'idée nationaliste reprit rapidement le dessus. Pendant toutes les guerres, rébellions et autres troubles ayant émaillé l'Est du pays et le Kwilu pendant les années 1960, jamais l'unité de la RDC n'a été remise en cause. La réaction unanime d'hostilité des Congolais, lors des tentatives d'occupation de notre territoire par le Rwanda avec la complicité des puissances, a démontré la solidité du sentiment national en notre pays. Le refus de la balkanisation du pays est assurément le sujet sur lequel tous les Congolais se mettent aisément d'accord.

Le nationalisme congolais, entendu comme volonté de tout mettre en œuvre pour défendre et conserver l'unité du Congo dans ses frontières du 30 juin 1960 puis raffermir la nation congolaise, est d'abord un dessein éminemment lumumbiste. Cependant, il faut reconnaitre que Joseph Mobutu Sese Seko a su donner à ce projet une ampleur incontestable. De sa féroce dictature, l'histoire retiendra une réelle volonté politique de préserver l'intégrité territoriale de notre pays. Nul ne peut contester que sa gestion des Provinces, de l'Administration Publique et de l'Université, marquée par une pratique de brassage des responsables ou des étudiants, visait à faire vivre les Congolais ensemble, afin d'unifier et consolider la Nation. Le credo : "Ekolo bo moko, mokonzi bo moko" est encore dans beaucoup de nos esprits. La musique, la chanson, la danse et le football apporteront également leur contribution à ce projet.

Sans contester l'utilité d'une exhortation sur le thème de l'unité nationale, il convient de retenir qu'aujourd'hui, la question centrale n'est plus celle de l'unité de la RD Congo ; la République existe, les Congolais la veulent unie et forte, ils la défendent, nombreux sont tombés sur le champ d'honneur pour elle. La problématique actuelle est celle de ce que le Président Joseph Kabila qualifiait de "Question de la cohésion nationale", c'est celle du renforcement de cette unité par la lutte contre le tribalisme, l'ethnicisme, le régionalisme. Il s'agit, par exemple, de comprendre et prendre des mesures concrètes contre la constitution des cabinets politiques mono-ethniques, les violences inter-ethniques, la chasse aux non originaires dans certaines provinces ou même la revendication intempestive de la présence de toutes les provinces ou territoires au sein du gouvernement sous le prétexte de la représentation nationale.

Par ailleurs, j'ai cru comprendre que l'appel à l'unité nationale visait également à prêcher une certaine modération dans le camp des partisans du Président. Ne s'agissait-il pas de calmer ceux de ses extrémistes qui s'acharnent à faire le vide autour de l'autorité afin d'en faire une sorte de "propriété exclusive" pour des intérêts manifestement égoïstes ?

Maintenant que le Chef de l'Etat a mis le doigt sur cette question, que et comment faire pour consolider encore davantage l'unité nationale ? Comment agir quotidiennement pour aider le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à poursuivre, dans de bonnes conditions, le travail de raffermissement de la cohésion nationale, entamé par le Sénateur Joseph Kabila Kabange ?

Les questions s'adressent à vous penseurs politiques et autres. Quid alors de la problématique du changement ?

LE CHANGEMENT

Le Chef de l'Etat a posé la question du changement en ces termes : "Les défis de notre pays sont immenses et les problèmes multiples, mais il n'est pas impossible d'y remédier et de commencer ainsi à changer les choses, à changer notre mode de vie en société, à changer notre Congo".

Le changement est-il l'arlésienne de la RDC, c'est-à-dire quelque chose dont on parle beaucoup, que l'on attend et désire mais qui n'apparaît pas ? Certes non !

Avant d'aller plus loin, revenons à l'histoire. Le thème du changement ou de l'espoir du changement constitue un des principes fondamentaux du Kimbanguisme. C'est en promettant ou prophétisant le changement que Simon Kimbangu inaugure son Ministère vers les années 20 du siècle passé : "Le blanc deviendra noir et le noir deviendra blanc" prophétise-t-il et attire les masses à N'Kamba. Cet espoir du changement enthousiasmera les Bakongo jusqu'au déclanchement de la lutte pour l'indépendance en 1959 ; par la suite le message s'étendra sur l'ensemble du pays.

Le thème du changement reviendra à la mode, au milieu des années 50, à travers une chanson à succès du chanteur-guitariste Adou Elenga : "Ata ndele mokili ekobaluka". Comme bien souvent dans l'histoire de l'humanité cet artiste de talent dénonçait la situation coloniale tout en mobilisant ses compatriotes à aller vers le changement ; il affirma qu'un jour les choses changeraient ou finiraient par changer.

Le grand leader de la lutte pour l'indépendance Patrice-Emery Lumumba, dans un ouvrage publié en 1957 et intitulé : "Le Congo terre d'avenir est-il menacé ?", ne parle que du changement, l'imagine, le souhaite et le réclame. Aucun des autres combattants de la libération ne s'exprimera différemment, même les plus modérés du PNP.

Joseph Kasa-Vubu mettra le premier quinquennat de l'indépendance nationale sous ce thème. C'était bien pour changer que lui et ses amis de l'Abako avaient, dès 1957, exigé l'indépendance immédiate.

Mobutu arrive au pouvoir le 24 novembre 1965 avec pour credo : "Congo nouveau, homme nouveau et femme nouvelle". Peut-on imaginer une expression d'un changement plus radical ?

Lorsque les rues de grandes villes congolaises et les sentiers de nos campagnes reçoivent la rumeur selon laquelle Mzee Laurent-Désiré Kabila paie, aux soldats et fonctionnaires des territoires libérés, 100 USD par mois, ce n'est plus la guerre qui libère le reste du pays, mais l'espoir du changement.

Et quelle a été la caractéristique principale, qui sous-tendait, les 18 années du pouvoir du Président Joseph Kabila Kabange, si l'on considère : la démocratisation, le programme des cinq chantiers, le credo : changement de mentalité, la vision : révolution de la modernité, la passation pacifique et civilisée du pouvoir suite aux élections de décembre 2018 ? N'est-ce pas la volonté et la concrétisation du changement ?

Le changement est donc bien un thème récurrent et même permanent du discours politique congolais. Est-ce dire qu'il ne faut plus le mettre en exergue ? Bien sûr que non ! Il faut d'ailleurs le crier plus fort !

Il reste légitime, surtout de la part d'un Président de souhaiter encore plus de changement pour son pays. Il est même de son devoir d'initier ce changement, de l'organiser et de motiver son peuple à l'entreprendre au plus vite.

Cependant, il importe, si nous voulons réussir de manière décisive ce énième courant du changement, que ceux qui, après que le Chef de l'Etat a parlé et indiqué le chemin, auront la responsabilité de conduire ce changement, sachent regarder d'un œil critique certes, mais objectif, ce qui a déjà été réalisé, son ampleur, comment cela avait pu être concrétisé, quelles étaient les difficultés rencontrées, dans quelles conditions de paix ou de guerre et avec la collaboration de qui ? Nous devrions tous comprendre que le changement vers le développement constitue un processus à la fois cumulatif et global. Il est cumulatif en ce sens qu'il se construit sur des fondations établies par les prédécesseurs et ne peut s'enraciner que s'il prend en compte la société dans ses différents aspects, notamment culturels.

De la prise en compte de ces considérations politiques dépendra la réussite de notre projet national de poursuivre le changement.

Pour ma part, je doute que Joseph Kasa-Vubu ait pu embraser Léopoldville en 1959 et chasser le colonisateur, sans que Simon Kimbangu et les kitawalistes n'aient préparé le chemin. Je ne crois pas que LD Kabila aurait pu libérer la RDC si Joseph Mobutu n'avait pas su maintenir l'unité du Zaïre. La mise en œuvre de la démocratie par Joseph Kabila en 2001 avait été facilitée par le travail de préparation des esprits à cette forme de gouvernement, effectué notamment par Etienne Tshisekedi. Le Raïs a pu mettre en œuvre la démocratie, initier et réaliser les grands travaux des "cinq chantiers" qui ont laissé des traces indélébiles dans ce pays, conceptualiser "la Révolution de la modernité" et enfin passer au transfert pacifique et civilisé du pouvoir que parce que LD Kabila avait su, avec le peuple congolais, résister aux tentatives de balkanisation du pays.

Pour réussir le changement projeté, la balle est dans le camp de tous les Congolais, mais la responsabilité incombe principalement au gouvernement de la coalition FCC /CACH et à certains cadres restés en dehors. Prenons donc nos responsabilités.

Jean-Pierre Kambila Kankwende
Forum des As / MCP, via mediacongo.net
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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 13.09.2019 à 18:22
PROPOS DES 15 MILLIONS DE DOLLARS volés: TSHILOMBO doit TOUT à KAMERHE. Si malgré ses 15 pc aux élections il SQUATTE la présidence de RDC, cest KAMERHE; donc si TSHILOMBO ose soit dire quoi que ce soit contre KAMERHE ou pire s’il croit qu’il peut oser " se débarasser " de KAMERHE ce dernier va IMMEDIATEMENT publier son livre écrit en secret et intitulé : ‘' Peuple congolais ,Pardon pour la tricherie du 30 Décembre 2018 '' Un livre percutant qui va mettre TSHILOMBO KO et à genoux devant KAMERHE. TSHILOMBO ne peut RIEN contre VITAL

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 13.09.2019 à 18:00
Jean Pierre : ton discours est inutillement trop long Tu pouvais resumer tout en 5 points : 1 / Tshilombo et ton chef Kamerhe : Remettez les 15 millions de dollars que vous avez volé 2/ Remettez les 180 Millions de commissions sur les 10 Marchés gré à gré illégaux et remettez les millions de dollars du Congo versé dans les comptes du mafiosi belgo turc Server Lukman 3/ Que TSHILOMBO cesse de dilapider l’argent des congolais avec des voyages couteux et inutilles 4/ Retirer le Congo des dernières places où en 7 mois vous avez améné ce pays : Transparency International,Doing Business, Indice de développement humain 5/ Cessez de faire par semaines plus de 20 promesses en l’air,

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Chançard KIFU @5LND5NC   Message  - Publié le 13.09.2019 à 13:39
En toute réalité, la réussite ou l'échec du mandat de Felix sera à 80% le résultat du camps FCC. d'où FCC a plein intérêt de bien vouloir aider l'actuel président. Un résultat positif aidera le FCC à regagner la confiance du peuple congolais en 2023; le contraire de ce résultat le fera engloutir d'avantage aux prochain scrutin.

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Mbok'Elengi 10e rue @TSWZGT3   Message  - Publié le 13.09.2019 à 13:31
UDPS et UNC sont avalées par le FCC et le patron c'est JKK. Il y'a pas cohalition Papa! Kabila trop trop fort! Lisanga Bonganga vient de dire la vérité de l'echec pour Tshilombo. La victoire de Fayulu avec 62 8 va lui couter cher

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 13.09.2019 à 13:00
(suite). Les problémes journaliers des congolais sont là depuis la nuit de temps, simplement certains ont banalisé ces problèmes en attribuant la faute à un ennemi (Mobutu, puis Kabila). La dèmocratie n'est plus le choix des gouvernants tout court, mais la recherches des résultats du bien etre sociale de la part de la population. Ainsi, la recherche de l'unité nationale sur certains problèmes majeures est importent si pas indispensable, autrement le peuple sera toujours à la recherche de son Moise pour résoudre sa misère.

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 13.09.2019 à 12:56
(suite) Cela se voit surtout dans la presse, les médias, et les déclarations de Kambud, Kabeya eecc, voir meme de Fayulu. Donc le problème est plus de Tshilombo est son UDPS, que du FCC. La lutte politique Tshisekedi père se basait plus à la diabolisation des autres qu'a l'application de la démocratie, et le peuple de cette opposition là continue sa guerrilla idèologique. Maintenant la partie de l'opposition qui se sent abbandonnée par la maison mère de l'UDPS est obbligée de se recycler, soit dans le parlement ou dans la rue. Les problémes journaliers des congolais sont là depuis la nuit de temps, simplement certains ont banalisé ces problèmes en attribuant la faute à un ennemi (Mobutu,Kabila).

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 13.09.2019 à 12:41
Une analyse avec des rappels historiques importants. L'Unité nationale après Mobutisme étaient initiée par le Président Kabila, non sénateur,fonction qu'il auccuperà après. Dit ceci, le message de Tshilombo était simplement un enterrement de l'idéologie creux "peuple d'abord" et son approche au FCC,aux réalités du pays, nous avons déjà écrit cela Son message est utile, parceque l'UDPS était la mère des contestations politiques jusqu'à la veille des élections. Certains leaders politiques issuent de cette école de Limete sont encore dans le maquis, et n'arrivent pas à comprendre,le changement de ton de la part de Tshilombo. Cela se voit surtout dans la presse, les médias, et les déclarations de Kambud, Kabeya eecc, voir meme de Fayulu.

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 13.09.2019 à 10:46
BEN a moins de 1 an vos opposants au pouvoir avec FELIX on dejas détournés plus que les 18 ans de Kabila d'ailleurs vous parlez de 18 ans alors la periode 4+1 avec votre frère de Bemba un escroc,plus votre voleur de MUZITO premier ministre suivis de deux UDPS BADIBANGA et TSHIBALA premier ministre de tourneurs vous n’êtes que petits menteurs a l'image de votre frère de FAYULU

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Ben @PI5HYC7   Message  - Publié le 13.09.2019 à 10:13
Demander aux FCC un changement de comportement? n'ignore pas qu'ils ont fait 18 ans dans la destruction du pays

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KALUMBA @TR57OBY   Message  - Publié le 13.09.2019 à 07:41
Va chanter "DJALELO" A Kingakati dit. Ame faible, inconscient, flateur de mauvais gout.

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