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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 08 avril 2024
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Politique

Kabasu Babu exige un audit à la Présidence !

2020-09-25
25.09.2020
2020-09-25
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Kabasu Babu

L’IGF étant contrôlée par la présidence ne peut donc pas être juge et partie. Il est donc impérieux que la Cour des Comptes soit mise à contribution pour établir l’orthodoxie financière de la présidence comme service public. Le Parlement devrait exiger la réduction des rémunérations excessives  dans ce service public.

La validation de ses crédits pour l’exercice 2021 devrait être conditionnéeà la réalisation préalable de cet audit. Il est aussi indispensable qu’une évaluation indépendante de l’exécution de tous les programmes de la Présidence ainsi que son système managérial soit initiée. L’Etat de Droit ne peut pas être déployé en sens unique’’, écrit Hubert Kabasu Babu Katulondi, dans une lettre ouverte adressée aux Députés et Sénateurs.  Sous la casquette de ‘’Gardien Intellectuel’’ de la République,il rappelle que c’est au niveau de la gestion budgétaire, un instrument essentiel de la bonne gouvernance étatique, que la situation est très dramatique.

 
Déjà,  au 31 mai 2019, ce service public avait consommé près  de 98 % de son budget de toute l’année, soit FC 132 milliards (USD 75 millions) sur des crédits budgétaires de FC 143 milliards. Cette transgression de la Loi Financière de l’exercice 2019 s’est quasiment systématisée avec désinvolture en 2020.

En effet, au 31 mai 2020 les charges rémunératoires de ce service de l’Etat se sont chiffrées à FC 68 milliards ($36,7 millions) contre les allocations budgétaires de FC 42 milliards sur cette période, soit un dépassement de 161 %.

En clair, il indique que   ces rémunérations ont été triplées, des individus engagés, des structures créées, selon une rationalité financière et managériale qui demeurent inconnue par les Congolais (dont les salaires ont entretemps enregistré un dramatique amenuisement dans cette période noire de la Covid-19).

Pour le troisième trimestre  de 2020 (juillet-aout-septembre), le dérapage budgétivore s’est accéléré. Ce service public a consommé pour le seul mois de juillet 2020, toutes les allocations trimestrielles, soit FC 34,6 milliards (USD 17,6 millions)  sur les prévisions de FC 30,4 milliards (USD 16 millions).

Finalement, en huit mois, ce service public a ingurgité toutes les allocations budgétaires des rémunérations soit USD  55 millions sur les crédits de USD 50 millions devant couvrir 12 mois ! Le trésor public devra donc suppléer avec USD 27,5 millions.

 
A son avis, la ‘’Présidence fonctionne comme un électron libre, dans l’opacité totale, sans aucune redevabilité, comme une véritable cour monarchique. Et la société et les institutions sont toutes tétanisées face à cette gravissime répudiation de la bonne gouvernance.

Et, pourtant, les experts en la matière notent que ce type des dépassements excessifs systématisés de la rubrique budgétaire des rémunérations dans les services publics est symptomatique des détournements généralisés des ressources de la République qui seraient affectées aux fins non autorisées par la Loi Financière de l’Etat’’.

Plus loin, dans cette même lettre aux Députés et Sénateurs, Kabasu Babu rappelle, par ailleurs, que ‘’le procès sur le détournement de USD 57 millions relatifs au programme de 100 jours du président a révélé des dysfonctionnements insolites de ce service public.

Mais,  aucune disposition corrective n’a jamais été implémentée de manière transparente pour assurer les citoyens que des forfaits de ce type ne seront plus savamment orchestrés au niveau de l’institution directrice de l’Etat. Alors que, dans l’entretemps, la Présidence a initié d’autres programmes dont  leurs implications budgétaires et leurs transactions financières ne sont jamais établies de manière transparente’’.

 
A ce jour, réaffirme-t-il,  leurs indicateurs des performances-impacts sont inconnus par les citoyens et par le Parlement.

 
Voilà pourquoi, à la lumière de cette ‘’situation déplorable et inadmissible dans une République Moderne, le Parlement de la République qui est l’autorité budgétaire suprême, et le rempart de la bonne gouvernance (par le contrôle du gouvernement ayant en charge les services publics de l’Etat), a l’obligation d’exiger un audit budgétaire, financier et managérial de ce service public. Il est nécessaire qu’une commission mixte Assemblée-Sénat soit mise en place, à cet effet, pour explorer cette transgression gravissime de la législation budgétaire-financière’’, conclut-il.

 

 

Hubert Kabasu Babu Katulondi

CITOYEN REPUBLICAIN CONGOLAIS, KINSHASA, RDC                

Kinshasa, le 15 Septembre 2020

C/O Médias publicateurs

HONORABLE PRESIDENTE DE L’ASSEMBLEE NATIONALE JEANINE MABUNDA
HONORABLE PRESIDENT DU SENAT ALEXIS THAMBWE MWAMBA
HONORABLES DEPUTES ET SENATEURS
Objet : l’impératif d’un audit budgétaire-financier  de la Présidence de la République comme service public et l’évaluation de ses programmes

Chers Compatriotes et Honorables,

Le projet de la construction républicaine en RDC, que les pères de l’indépendance avaient échoué de réaliser en 1960-1965, subséquemment répudié de 1965 à 1996 par la monarchie absolue zaïroise, a été réalisé au prix d’énormes sacrifices de 1997 à 2018. Il s’agit d’un acquis à capitaliser. C’est un processus qui,  dans la dispensation de l’alternance,  devait impérativement connaitre une scintillante impulsion méliorative. Et cela en priorité dans «l’institution directionnelle de l’Etat» qui est la Présidence de la République. Celle-ci est censée connaitre un remarquable élan de rationalisation, de modernisation et d’élévation en performance, en phase avec les percées gouvernologiques contemporaines.

Cependant, contrairement à l’expectative d’une impulsion méliorative et innovatrice, ce service public de l’Etat connait une inquiétante érosion de son caractère républicain techno-rationaliste. La patrimonialisation tribalo-partisane, le népotisme patent et la courtisanerie outrancière, s’y conjuguent avec un personnel vertigineusement pléthorique.

 
Tout cela sur fond d’une hypertrophie structurelle alourdissant et dénaturant l’organe orienteur de la Res Publica.

 
C’est au niveau de la gestion budgétaire, un instrument essentiel de la bonne gouvernance étatique, que la situation est très dramatique.

Déjà,  au 31 mai 2019, ce service public avait consommé près  de 98 % de son budget de toute l’année, soit FC 132 milliards (USD 75 millions) sur des crédits budgétaires de FC 143 milliards.

Cette transgression de la Loi Financière de l’exercice 2019 s’est quasiment systématisée avec désinvolture en 2020. En effet, au 31 mai 2020 les charges rémunératoires de ce service de l’Etat se sont chiffrées à FC 68 milliards (USD 36,7 millions) contre les allocations budgétaires de FC 42 milliards sur cette période, soit un dépassement de 161 %.

Il convient d’indiquer que ces rémunérations ont été triplées, des individus engagés, des structures créées, selon une rationalité financière et managériale qui demeurent inconnue par les Congolais (dont les salaires ont entretemps enregistré un dramatique amenuisement dans cette période noire de la Covid-19). Pour le troisième trimestre  de 2020 (juillet-aout-septembre), le dérapage budgétivore s’est accéléré. Ce service public a consommé pour le seul mois de juillet 2020, toutes les allocations trimestrielles, soit FC 34,6 milliards (USD 17,6 millions)  sur les prévisions de FC 30,4 milliards (USD 16 millions).

Finalement, en huit mois, ce service public a ingurgité toutes les allocations budgétaires des rémunérations soit USD  55 millions sur les crédits de USD 50 millions devant couvrir 12 mois ! Le trésor public devra donc suppléer avec USD 27,5 millions.

En cette matière, la Présidence fonctionne comme un électron libre, dans l’opacité totale, sans aucune redevabilité, comme une véritable cour monarchique. Et la société et les institutions sont toutes tétanisées face à cette gravissime répudiation de la bonne gouvernance. Pourtant, les experts en la matière notent que ce type des dépassements excessifs systématisés de la rubrique budgétaire des rémunérations dans les services publics est symptomatique des détournements généralisés des ressources de la République qui seraient affectées aux fins non autorisées par la Loi Financière de l’Etat.

Par ailleurs, le procès sur le détournement de USD 57 millions relatifs au programme de 100 jours du président a révélé des dysfonctionnements insolites de ce service public. Mais,  aucune disposition corrective n’a jamais été implémentée de manière transparente pour assurer les citoyens que des forfaits de ce type ne seront plus savamment orchestrés au niveau de l’institution directrice de l’Etat.

Entretemps, la Présidence a initié d’autres programmes alors que  leurs implications budgétaires et leurs transactions financières ne sont jamais établies de manière transparente.

A ce jour, leurs indicateurs des performances-impacts sont inconnus par les citoyens et par le Parlement.

A la lumière de cette situation déplorable et inadmissible dans une République Moderne, le Parlement de la République qui est l’autorité budgétaire suprême, et le rempart de la bonne gouvernance (par le contrôle du gouvernement ayant en charge les services publics de l’Etat), a l’obligation d’exiger un audit budgétaire, financier et managérial de ce service public. Il est nécessaire qu’une commission mixte assemblée-sénat soit mise en place à cet effet, pour explorer cette transgression gravissime de la législation budgétaire-financière.

L’IGF étant contrôlée par la présidence ne peut donc pas être juge et partie. Il est donc impérieux que la Cour des Comptes soit mise à contribution pour établir l’orthodoxie financière de la présidence comme service public. Le Parlement devrait exiger la réduction des rémunérations excessives  dans ce service public. La validation de ses crédits pour l’exercice 2021 devrait être conditionnéeà la réalisation préalable de cet audit. Il est aussi indispensable qu’une évaluation indépendante de l’exécution de tous les programmes de la Présidence ainsi que son système managérial soit initiée. L’Etat de Droit ne peut pas être déployé en sens unique.

 
Il est indispensable que le leadership du Parlement de la République fasse preuve de rigueur et d’innovation en matière de gestion budgétaire de l’Etat et en évaluation de la performance de l’appareil exécutif de la République par rapport à tous les programmes exécutés avec l’argent du trésor public.

La reddition des comptes seule, effectuée souvent de manière ritualiste une fois l’an, ne suffit pas. Le Parlement peut créer une cellule de monitoring et d’évaluation permanente de l’exécution du budget et de tous les programmes exécutifs, avec publication mensuelle des résultats, conclusions, actions correctives et sanctions, à l’attention des citoyens, par obligation de la redevabilité républicaine.  C’est impératif pour la consolidation de la démocratie substantive.

Force est de souligner que la présidence de la République est aujourd’hui perçue dans l’opinion nationale et internationale comme la propriété exclusive d’une nouvelle bourgeoisie compradore politicienne, voire d’une coterie clanique. Elle servirait de foyer de partage opaque et incontrôlé des fonds mis à sa disposition par la République – comme un butin. Cette perception sociopolitique de l’injustice par la monopolisation tribalo-partisane-courtisane  d’un service étatique est extrêmement périlleuse pour la cohésion nationale.

Le devoir de la protection intellectuelle de la République, dans sa quintessence rationaliste et moderniste, nous a imposé cette démarche citoyenne.

Veuillez agréer, chers compatriotes et Honorables Députés et Sénateurs, l’expression de notre considération distinguée.

Hubert Kabasu Babu Katulondi

(Gardien Intellectuel de la République)      


La Prospérité / MCP, via mediacongo.net
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Meso Mbuaki @9KYSFK8   Message  - Publié le 25.09.2020 à 15:41
La signature de Mr Kabasu Babu m’intrigue , gardien ont-elles de la république. Un ancien rebelle et ancien gouverneur de province révise son poste par le président Kabila lui même pour cause d’autoritarisme , et c’est lui le gardien intellectuel de la république ? Mr Kabasu Babu est un simple garçon de course de Nehemie Mwilanya au Kasaï, comme l’est Ngoyi Kasanji. C’est une bonne stratégie de ce cher Nehemie mais il choisit mal les exécutants.

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 25.09.2020 à 14:40
LAMBERT: tu nous prends pour des cons ,il ne vous reste plus qu'à nous dire ce kabila qui avait décidé les sauts de mouton ,tout ce qui ne marche pas ce Kabila ,alors que fait Felix ? ça fait plus de 2 ans que Tshilombo et l'UDPS sont au pouvoir, Tshilombo ne savent que nommés ses frères mais pas révisés les salaires a la baisse ? vous etes prit dans vos propres contradiction et démagogie le peuple d'abord alors que a la présidence les salaires sont comme en europe pendant que les enseignants et les policiers trinquent

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 25.09.2020 à 13:41
RAMAPHOSA EN VOIE DE DESTITUTION,, ;:!!!! , Le Salaitre du Président Ramaphosa aété fixé 18750 Dollars ( Dix Huit Mille Sept Cent Cinquante dollars )° soit 3650 dollars de plus par mois que l’ancien président Jacob Zuma. En Afrique du Sud le salaires de tous les officiels ,y compris le Président de la Répulique est fixé par la The Independent Commission for the Remuneration of Public Office Bearers SOURCE :w w w thesouthafrican POINT com/news/ramaphosa-earn-more-president-zuma/ QUAND ENFIN SERA REALISEE la promesse de campagne:"MON SALAIRE SERA PUBLIE ET CONNU PAR TOUS"??? Le mensonge est érigé en methode de gestion de l' ETAT DE DROIT!!!

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 25.09.2020 à 13:37
SCANDALE EN AFRIQUE DU SUD/ RAMAPHOSA EN VOIE DE DESTITUTION,, ;:!!!! , Le Salaitre du Président Ramaphosa aété fixé 18750 Dollars ( Dix Huit Mille Sept Cent Cinquante dollars )° soit 3650 dollars de plus par mois que l’ancien président Jacob Zuma. En Afrique du Sud le salaires de tous les officiels ,y compris le Président de la Répulique est fixé par la The Independent Commission for the Remuneration of Public Office Bearers SOURCE :w w w thesouthafrican POINT com/news/ramaphosa-earn-more-president-zuma/ QUAND ENFIN SERA REALISEE la promesse de campagne:"MON SALAIRE SERA PUBLIE ET CONNU PAR TOUS"??? Le mensonge est érigé en methode de gestion de l' ETAT DE DROIT!!!

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 25.09.2020 à 13:33
SCANDALE EN AFRIQUE DU SUD/ RAMAPHOSA EN VOIE DE DESTITUTION!!!! et pour cause: Le Salaitre du Président Ramaphosa aété fixé 18750 Dollars ( Dix Huit Mille Sept Cent Cinquante dollars )° soit 3650 dollars de plus par mois que l’ancien président Jacob Zuma. En Afrique du Sud le salaires de tous les officiels ,y compris le Président de la Répulique est fixé par la Commission indépendante pour la rémunération des titulaires de charge publique(the Independent Commission for the Remuneration of Public Office Bearers ) SOURCE :w w w thesouthafrican. POINT com/news/ramaphosa-earn-more-president-zuma/ QUAND ENFIN SERA REALISEE la promesse de campagne:"MON SALAIRE SERA PUBLIE ET CONNU DE TOUS " ??? Mensonges érigés en mode de gestion de l'Etat,:!!!!!

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KB COMMERCIAL @VJOWT5U   Message  - Publié le 25.09.2020 à 12:29
Kabasu Babu, commençons d'abord par faire l'audit de ta gestion du Kasai-Occidental quand tu fus gouverneur et ta gestion des provinces gérées par le RCD quand tu en fus haut cadre.

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Adiel @VCSSG8U   Message  - Publié le 25.09.2020 à 12:18
Qui a fixé le salaire de l'ancien président ? un jour vous direz aussi que c'est Kabila ? NON NON NON , mais les faiseurs de lois c'est le parlement.

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Adiel @VCSSG8U   Message  - Publié le 25.09.2020 à 12:17
Vos réactions démontrent le niveau bas de la compréhension sur cette thématique. Qui a fixé le salaire du président actuel est ce lui meme ou la loi ? Qui a fixé les remunérations d'autres postes de la présidences est ce lui le président ou la loi ? Eviter de réactions terre à terre. Soyez plus raisonnable. Nos politiciens dont Kabasu bau connaissent bien cela. On doit revoir les salaires de toutes les institutions.

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Adiel @VCSSG8U   Message  - Publié le 25.09.2020 à 12:11
Le mal est profond. Les salaires à la présidence n'ont pas été fixé par l'actuel président de la République. cela a bien débuté longtemps. Il faut une restructuration et une nouvelle conception managériale. Ne limiter pas le débat à Félix. Il faut revoir plusieurs autres lois sur les rémunérations( le parlement, le senat et les membres du gouvernement) Sinon il faut refonder cette RDC.

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 25.09.2020 à 10:53
il ne faut pas s'étonné TSHILOMBO son premier emploi en RDC president de la république ,il ne comprends rien en économies finances donc ses conseillers font ce qu'ils veulent parce que lui meme ne comprends rien ne contrôle rien pour diriger il faut dejas comprendre c'est qu'on fait ,le pays est une grande entreprise donc le president est dépassé la veste est trop grande pour lui

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DN @TNNQ1UA   Message  - Publié le 25.09.2020 à 10:10
Jusqu'à ce jour le juge qui a condamne vital ne nous a jamais dit exactement qu'est-ce qui n'a pas marche a la présidence de la république pour qu'il ait ce type de détournement héla comme cela ne suffisaient pas il y a eu encore un autre cas de détournement toujours a la présidence (maison civil du président) pour dire ce procès dit de 100 jours n'avait pas son importance. Je pense avec certitude qu'a la présidence il y a un très grand disfonctionnement et il faut l'admettre et chercher comme résoudre d'où l'importance de faire l' audit et les recommandations doivent être implémenté de toute urgence c'est inacceptable que ce seulement la présidence qui dérive quand on parle du détournement ce la présidence, tribalisme, régionalisme et autre c'est la présidence, dépense incontrôlé de l'argent de l'Etat ce la présidence etc.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 25.09.2020 à 08:19
Les députés et sénateurs Américains avaient voté un budget obligatoire pour Trump, au vue de son train de vie coûteux. Pour l'instant la Présidence congolaise est une cellule de gaspillage et détournement. Le député a parfaitement raison. L'exemple vient d'en haut.

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Anonyme! @ET86R2M   Message  - Publié le 25.09.2020 à 06:27
Nous fondant tout simplement sur la DÉCLARATION DE FÉLIX LUI-MÊME pendant la campagne présidentielle en 2018, lui qui passait pour être et devenir le PRÉSIDENT LE PLUS TRANSPARENT DE L'AFRIQUE S'IL ÉTAIT ÉLU, il prêcherait par l'EXEMPLE À SON PEUPLE, CAR DÉJÀ SON PRMIER SALAIRE DU MOIS SERA CONNU DE TOUS LES CONGOLAIS ET par conséquent tout le monde connaîtrait son SALAIRE MENSUEL! CURIEUSEMENT, DEPUIS QU'IL DEVENU PRÉSIDENT, FÉLIX NE PARLE "JAMAIS" DE SON SALAIRE MENSUEL! Et s'il est conscient, il doit remarquer qu'il est le PRÉSIDENT LE PLUS"OPAQUE" DU MONDE , alors qu'on sait que l'ARGENT COULENT EN FLOT À LA PRÉSIDENCE

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boniface @54S2XAE   Message  - Publié le 25.09.2020 à 05:42
kabasubabu toi hier gouverneur mais chassé comme un petit gamin sans maturité aujourd'hui tu devient donneur des leçons de bonne gouvernance ce vraiment pitié pour toi et lorsque Kabila cherché 15 personnes pour réussir son mandat tu n'as pas était choisi dommage pour toi et médiocre que tu es arrete a distraire les gens

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BABALAO @OR9LPZO   Message  - Publié le 25.09.2020 à 05:39
Et bien voila le debut du commencement d'un Etat de droit. nous attendons impatiemment la reaction du parlement. le chef du cabinet a vole' 50,000$. la presidence plus de 50 millions et l'analphabet au pouvoir nous chante chaque jour la justice.

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