Monde
Elle a confirmé qu'elle songeait à une candidature à la présidentielle de 2024.
Donald Trump ne pourra pas briguer un mandat en 2024, a estimé l'ex-ambassadrice américaine à l'ONU Nikki Haley dans un entretien publié vendredi, estimant qu'il avait "laissé tomber" le parti républicain en s'obstinant à refuser sa défaite à la présidentielle.
Nikki Haley
L'ancienne gouverneure de Caroline du Sud, une fidèle de M. Trump, actuellement jugé au Sénat pour "incitation à l'insurrection", s'est aussi dite "profondément troublée" par l'attitude de l'ancien président, qui n'a cessé de contester le résultat de l'élection du 3 novembre.
"Il ne briguera pas de mandat fédéral", a-t-elle dit lors de cet entretien à Politico, réalisé quelques jours après l'assaut des partisans de Donald Trump contre le Capitole du 6 janvier, au moment où les élus certifiaient le résultat du scrutin.
"Je ne pense pas qu'il sera présent, je ne pense pas qu'il puisse, il est tombé trop bas", a-t-elle expliqué.
L'ex-ambassadrice a aussi critiqué le parti républicain pour avoir soutenu les accusations de M. Trump, qui dénonçait, sans apporter de preuves, des "fraudes massives" avant et après l'élection qui a porté Joe Biden au pouvoir.
"Nous devons reconnaître qu'il nous a laissés tomber", a déclaré Nikki Haley, dans cette première critique publique de Donald Trump, dont elle était très proche.
"Il a pris un chemin qu'il n'aurait pas dû prendre, et nous n'aurions pas dû le suivre et nous n'aurions pas dû l'écouter. Et nous ne devons jamais laisser cela recommencer", a-t-elle ajouté.
Elle a confirmé qu'elle songeait à une candidature à la présidentielle de 2024.
Donald Trump ne pourra pas briguer un mandat en 2024, a estimé l'ex-ambassadrice américaine à l'ONU Nikki Haley dans un entretien publié vendredi, estimant qu'il avait "laissé tomber" le parti républicain en s'obstinant à refuser sa défaite à la présidentielle.
L'ancienne gouverneure de Caroline du Sud, une fidèle de M. Trump, actuellement jugé au Sénat pour "incitation à l'insurrection", s'est aussi dite "profondément troublée" par l'attitude de l'ancien président, qui n'a cessé de contester le résultat de l'élection du 3 novembre.
"Il ne briguera pas de mandat fédéral", a-t-elle dit lors de cet entretien à Politico, réalisé quelques jours après l'assaut des partisans de Donald Trump contre le Capitole du 6 janvier, au moment où les élus certifiaient le résultat du scrutin.
"Je ne pense pas qu'il sera présent, je ne pense pas qu'il puisse, il est tombé trop bas", a-t-elle expliqué.
L'ex-ambassadrice a aussi critiqué le parti républicain pour avoir soutenu les accusations de M. Trump, qui dénonçait, sans apporter de preuves, des "fraudes massives" avant et après l'élection qui a porté Joe Biden au pouvoir.
"Nous devons reconnaître qu'il nous a laissés tomber", a déclaré Nikki Haley, dans cette première critique publique de Donald Trump, dont elle était très proche.
"Il a pris un chemin qu'il n'aurait pas dû prendre, et nous n'aurions pas dû le suivre et nous n'aurions pas dû l'écouter. Et nous ne devons jamais laisser cela recommencer", a-t-elle ajouté.
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