Sortie officielle de la chanson «Molo molo» de Fally Ipupa avec le groupe Magic system

Le chanteur congolais Fally Ipupa alias « El Rey Mago » a lancé vendredi, en featuring avec le groupe musical ivoirien « Magic system », de Salif Traoré alias « A’Salfo », la chanson intitulée « Molo molo », sur le marché du disque et toutes les plates-formes musicales, a annoncé  l’artiste congolais sur son compte « Instagram ».

Il a indiqué que cette collaboration vise à faire plaisir à leurs mélomanes du monde entier et de l’Afrique en particulier. Fally Ipupa a fait savoir que ce morceau de 4 minutes est un mélange de Zouglou et de la rumba, dans lequel il exhorte ses mélomanes à travailler dur pour gagner la vie.

Réalisé par le label « Universal Music Africa » auquel ils sont nouvellement affiliés, la chanson intitulée « Molo molo », intervient après 4 ans d’absence de ce groupe sur la scène musicale africaine.

Originaire d’Abidjan, en Cote d’ivoire, le groupe « Magic System » s’inspire du mouvement culturel ivoirien depuis 1999 en décrivant les faits de société dont les artistes de ce groupe sont témoins.

Le groupe s’est rendu célèbre en interprétant également des titres à thème festif et compte dans son actif plusieurs tubes à succès,  notamment « Premier Gaou » sorti en 1999, « Bouger bouger » en 2005 et Chérie Coco en 2011, rappelle-t-on.

Par ailleurs, Fally Ipupa Nsimba est un  artiste musicien congolais, danseur, compositeur, producteur né à Kinshasa le 14 décembre 1977. Il débute sa carrière de chanteur dans divers petits groupes de rue, avant de se faire remarquer par le chanteur Koffi Olomide qui l’intègre dans son groupe « Quartier latin » durant 7 ans et y participe à 6 albums.

En 2006, il signe chez « Obouo Music » son premier album intitulé « Droit chemin ». Titulaire de succès internationaux avec des chansons World telles que « Chaise électrique » avec Olivia, « Sexy Dance » avec Krys et Sweet Life, Fally Ipupa a été également parmi les 50 africains les plus influents en 2020 dans le classement publié par « Jeune Afrique ».