Mampuya - 10.01.2023 - La faute est de Tshilombo, qui avait dit que les forces kenyanes allaient entrer par Bunangana, libérer Bunangana. La population, la masse dans son ensemble ne vas pas lire les accords sur papier, mais la parole du président qui fait texte. Si le chef est un charmeur de la parole, le peuple est culteur des faits, alors le résultat de méfiance n'est pas difficile à deviner.