Mampuya - 28.03.2023 - (Suite) de Kabila nous pouvons tout dire et tout lui reprocher. Mais quel était rôle, qu'avait fait l'opposition depuis 1990, aucune proposition économique, seulement dans la rue à manifester. Immaginons à 29 ans vous arrivez au pouvoir, avec comme mission principale la démocratie, mettre sur place des institutions, qui la nuit tous concordent, le jour tous conteste. La réunion des racailles de Genève est la parfaite illustration des politiciens congolais. La nuit tous d'accord, avant le levée du soleil on est contre. Kabila n'est arrivé au pouvoir pour imposer sa volonté ou vision. Voilà au fond le tort de Kabila. Essere différent des politiciens autochtones, de père et de mère. Son retour ? La meilleure solution serait qu'il impose la jurisprudence, l'exemple. Mais cela aurait dû avoir ,ou devait avoir comme préalable le respect de la constitution et des textes mettre fin aux transhumances inutiles. Dans ce sens son retour aux affaires est souhaitable, pour ne pas dire un mal nécessaire. Le comportement de Tshilombo, fait peur à un nouveau choix. Nous sommes retourné à 20ans en arrière. Celui qui affronté cette période là difficile est Kabila, et qui n'a même pas géré seul. Un Bemba, ou Fayulu ont-ils défendu les acquis di Sun City ? L'autocritique de l'église catholique, est là. Le dernier sermon de Ambongo, pourquoi ? . La constitution du Sun City, comme toutes les constitutions d'après guerre, partout dans le monde démocratique sont respecter. Pourquoi pas en RDC ? Si nous avions respecté le jeu démocratique suivant les règles, le M23 ne serait pas là, pas le désastre économique, moins encore la transhumance des incompétents. Regardons le peuple d'Israël qui défend sa démocratie.