Mampuya - 23.11.2020 - C'est une analyse dangereuse pour le peuple. Nous remercions d'etre en compagnie des gens qui s'opposent cette intoxication. Quand le vrai devient toxique. Une intoxication dangereuse, puisque le peuple n'a pas les moyens pour vérifier l'information et l'impact meme de l'information sur nos finances présentent et futur. Par exemple, la malaria est partout donc n'importe qui peut vérifier, mais Ebola non. Pire quand Kabila voulait suspendre les élections dans cette région pour mieux lutter contre Ebola, qui était en prémière ligne ? L'opposition, voir meme avec des violentes manifestation de négation de l'Ebola à Beni. Cobien qui savent que une patologie de type virale est ciclyque ? ainsi on a besoin d'un vaccin. Nous ne pensons pas que sont les laboratoires congolaise financé par Tshilombo qui ont trouvé le vaccin. L'enseignement maternelle gratuite, combien qui savent que les enseignants sont payer grance aussi à l'appui de la BM? et pour combien de temps, et combien d'enfants en age de l'école maternelle à chaque famille, et combien qui vont naitre?. A la fin fin qui va payer la facture qui aura tendance à croitre jusqu'à la fin de jour, pour un enseignement maternelle au rabais pour les enfants des pauvres. Peindre le campus et réfection du campus sont 2 choses différentes, l'Université était fermée pou d'autres motifs (grèves, protestations), non pour la réfection. Combien qui savent, que après la nationalisation et destruction. Mobutu avait tenté une rétrocession de cette Université aux Jésuites, et ils avaient réfusé, pour le coup excessif, de sa réfection et réhabilitation totale ?. Les travaux des 100 jours, personne , pas le gvt. peut nous dire combien des millions couteront à la fin. eecc donc, comme pour le peuple d'abord, ou l'union sacrée. Avec une analyse sérieuse sont des connèries, mais ont un impact sur les petits mentals, et le peuple indigène sans capacité d'information et d'analyse qui sont amballé. A la fin nous allons continuer à tourner en rond, avec des maigres résultats si Dieu le veut, et à founir au pays des demi ou semi intellectuels, donc la misère, alimentaire et d'èsprit.