Style et Beauté
L’horloger nippon célèbre cette année le centenaire de sa première montre de poche éponyme et dévoile, pour l’occasion, une réédition en série ultra-limitée, réinterprétée au goût du jour.
Retour aux sources. En 1924, une jeune maison horlogère donnait naissance à sa première montre de poche, baptisée "Citizen" — un nom qui sera adopté par la marque quelques années plus tard. Aujourd'hui, cette pièce de collection, désormais référence du patrimoine horloger contemporain, fait un retour remarqué dans une version réinventée, à la croisée de l'héritage et de l'innovation. Ce modèle hommage, accompagné d'un cordon tressé en soie japonaise indigo spécialement conçu pour l'occasion, reprend les éléments esthétiques emblématiques de son ancêtre, tout en s'en distinguant par des détails modernisés. Le cadran d'origine, blanc et lisse, est par exemple revisité dans un style texturé, obtenu par électroformage — un procédé qui permet de créer un motif en relief grâce à l'électrolyse —, recouvert d'une couche transparente, poli, puis précieusement logé dans un luxueux boîtier en alliage de titane.
Sous le capot, la montre est équipée d'un calibre manufacture exclusif 0270 à remontage manuel, doté d'un balancier à spiral libre, offrant 55 heures de réserve de marche et garantissant un degré de précision extrême (-3 à +4 secondes/jour), avec une fonction stop-seconde. Pour attester de cette précision, chaque pièce est accompagnée d'un certificat officiel confirmant qu'elle a été rigoureusement testée durant dix-sept jours, période au cours de laquelle elle a été inspectée dans six positions différentes et à plusieurs températures. Particulièrement raffiné avec sa finition Côtes de Genève, le mouvement se révèle derrière un fond de boîte transparent en verre saphir. Avis aux amateurs d'éditions limitées : sur les 100 exemplaires disponibles dans le monde, seuls trois seront proposés en France dès ce mois de novembre.
Un siècle d'avant-garde nippone
Les origines de Citizen remontent aux premières lueurs de l'ère Taishō, quelques années avant l'apparition de son modèle historique, dans un Japon marqué par d'importantes avancées économiques et industrielles. Cette période coïncide également avec l'émergence de l'horlogerie moderne, qui inspire le détaillant Kamechi Yamazaki à importer les savoir-faire suisses dans la fabrication de garde-temps.
Six ans après sa première montre de poche, la jeune maison inonde le marché avec le modèle F, sa première montre-bracelet pour homme, suivie de près par sa version féminine, qui contribueront largement à son essor et au développement de ses manufactures. D'autres innovations suivront, dont plusieurs records de finesse et de précision : la première montre-bracelet manuelle japonaise intégrant un système d'alarme (1958), la première montre 100 % étanche un an plus tard, une première Certification Chronomètre (1962), l'introduction de la montre électronique (1966), un premier chronographe et une première montre à quartz (1973), une première montre à affichage numérique l'année suivante, la première montre à batterie solaire (1976), et bien d'autres encore.
Citizen enrichit se faisant ses collections de modèles analogiques fonctionnant à la lumière (technologie Eco-Drive), montres de plongée, montres anti-chocs… Une philosophie inchangée, parfaitement résumée par la devise "Better Starts Now" : il n'est jamais trop tôt pour commencer. Toujours à l'avant-garde, la marque explore sans cesse de nouvelles solutions pour répondre aux enjeux contemporains et fait évoluer l'esthétique de ses garde-temps au gré des modes. La recette gagnante de sa longévité.
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