Economie
Dans un exposé explicatif du vendredi 2 mai 2014 à l’Assemblée nationale, l’auteur de la question orale avec débats, a indiqué que les le ministre de l’Economie et Commerce, avait rencontré son apaisement. Interpellé devant la représentation nationale par une question orale avec débats de l’Honorable Pico Mwepu sur la variation des prix des produits de première nécessité (riz, chinchards, poulets, sucre roux et ciment gris) aux différents marchés Rd-congolais. Présent à l’hémicycle le mercredi 30 avril 2014, le ministre de l’Economie et Commerce, Jean-Paul Nemoyato Bagebole a répondu aux différentes préoccupations de cet élu national avant les débats. Durant les débats, plusieurs questions ont été posées et méritent des réponses appropriées.
Ces réponses, l’actuel locataire du Rez-de-chaussée de l’immeuble ex. ONATRA, sur le Boulevard du 30 Juin, dans la municipalité de la Gombe, va les donner cet après midi lorsqu’il sera de nouveau devant la représentation nationale.
Le combat sur les prix des produits de première nécessité, Jean-Paul Nemoyato le mène depuis son avènement à la tête du Ministère de l’Economie et Commerce. Des habitués du couloir de ce Ministère en savent quelque chose. Dire qu’il a réussi à gagner ce combat, c’est exposé ce double élu national de la circonscription électorale de Bambesa, dans la province Orientale. Mais il est honnête de reconnaitre que le combat de la guerre de «Mpiodi» qui constitue une des batailles du social prôné par le Chef de l’Etat exécuté au niveau du Gouvernement par le biais du ministre de l’Economie et Commerce.
Tout est parti de l’état de lieu des prix des produits de première nécessité en RD-Congo. Nul n’ignore que c’est depuis 1885 que l’Etat alors sous l’administration coloniale homologuait les prix des produits de base. A l’accession de la Rd-Congo à la souveraineté nationale et internationale en 1960, la Rd-Congo a continué à réguler son économie par homologation. C’est en 1983 que les législateurs suite aux pressions des institutions de Breton woods, ont voté la loi libéralisant l’économie rd- congolaise. Plus question donc pour l’Etat de fixer les prix des produits mais c’est plutôt aux opérateurs économiques de procéder à la fixation des prix tout en respectant la marge bénéficiaire légale.
Comme certains de ces opérateurs économiques ne sont pas toujours des enfants de cœur, l’Etat intervient. Mais cette fois là après que l’opérateur économique ait mis en vente ses produits. Il s’agit donc pour les services de l’Administration du Ministère de l’Economie et Commerce de vérifier si la marge bénéficiaire est respectée. Si celle-ci n’est pas respectée, il s’en suit des amandes. Cette politique, le ministre de l’Economie et Commerce l’observe comme un chrétien catholique qui reste fidèle à son chapelet. Actuellement, ces amandes transactionnelles sont taxées presque à la hauteur du dégât causé. Cela pour éviter à l’opérateur économique pris la main dans le sac de revenir sur des pratiques qui ne respectent pas l’esprit de la loi de 1983 en matière de fixation des prix en Rd- Congo.
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