Religion
Pour l'édition de cette année, le carnaval le plus célèbre au monde, celui de Rio de Janeiro (Brésil), risque de perdre des plumes en raison de la réduction de la moitié des subventions annoncée par le maire évangéliste de la ville, qui évoque, lui, la crise économique pour justifier la décision.
Moins de paillettes en perspective pour l'édition 2018 du carnaval de Rio de Janeiro (Brésil). Évoquant la crise, le maire évangéliste de la ville, Marcelo Crivella, a réduit de moitié les subventions aux écoles de samba. Leandro Vieira, de l'école de samba Mangueira, explique que "pour la doctrine évangélique, le carnaval est la fête du diable : c'est quelque chose qui gêne", tout en estimant que "un évangélique est libre de penser ça, mais le maire de Rio de Janeiro, non."
"Avec ou sans argent, je profite du carnaval"
D'autant que le carnaval de Rio permet d'injecter dans l'économie environ 1 milliard de dollars par an. Les écoles de samba ont décidé de défier le maire. L'école de Mangueira, par exemple, a choisi pour thème : "Avec ou sans argent, je profite du carnaval". Quitte à recycler les matériaux utilisés les années précédentes. Malgré des fonds privés, arrivés in extremis, le carnaval risque d'y laisser des plumes.
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