Afrique
D’après les observateurs électoraux, ils n'étaient pas nombreux les électeurs qui se sont rendus aux urnes dimanche lors du second tour de la présidentielle au Mali, craignant notamment l’insécurité dans le pays.
Beaucoup ont néanmoins décrit le vote comme étant transparent, ce en dépit de quelques incidents.
“490 bureaux de vote qui n’ont pas pu ouvrir à 8 heures. Nous étions à 871 la dernière fois et cette fois nous sommes à 490 stations qui ne pouvaient pas ouvrir. Malheureusement, la région de Mopti est en tête avec environ 440 bureaux qui ne pouvaient pas ouvrir ; et sur les 440, un minimum de 100 buraux qui ne pouvaient pas ouvrir parce qu’ils étaient inaccessibles”, a révélé Salif Traoré, le ministre malien de la Sécurité.
Le groupe d’observation des citoyens du Mali, une organisation de la société civile, a affirmé que les craintes liées à la sécurité avaient sérieusement freiné le taux de participation, estimé à un peu plus de 27 % des huit millions d’électeurs inscrits.
La participation électorale est généralement d’environ 40 % lors des élections au Mali.
Le Mali est en tête des préoccupations sécuritaires des puissances occidentales en raison de la présence de groupes militants liés à Al-Qaïda et à l’État islamique.
Une élection réussie est considérée comme vitale dans les efforts visant à rétablir la stabilité alors que le gouvernement s’attaque à la menace islamiste renaissante et aux affrontements ethniques.
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