Style et Beauté
L’épaisseur de semelle reste fixée à 40 mm au maximum pour les chaussures de course sur route, mais celle des chaussures de piste ne devra pas excéder 20 ou 25 mm selon les disciplines, alors que 30 mm avaient été tolérés en début d’année.
La fédération internationale d’athlétisme, World Athletics, a décidé, mardi 28 juillet, d’amender les règles qu’elle avait fixées en tout début d’année sur les chaussures utilisées par les athlètes. Elle a ainsi modifié la hauteur maximale tolérée des semelles pour les chaussures à pointes utilisées sur les pistes, celle acceptée pour les chaussures utilisées pour les courses sur route n’étant pas modifiée.
Si, pour les courses sur route, l’épaisseur de semelle reste fixée à 40 mm au maximum, celle des chaussures de piste ne devra pas excéder 20 mm pour le sprint, les lancers et les sauts (sauf le triple saut) et 25 mm à partir du 800 m et pour le triple saut, alors qu’en janvier, World Athletics avait imposé une épaisseur maximale de 30 mm pour toutes ces chaussures.
Il s’agissait de la première fois que la fédération réglementait ainsi la hauteur des semelles. Cette décision avait fait suite aux polémiques suscitées par la multiplication des records enregistrés par des athlètes courant avec des chaussures fabriquées par l’équipementier américain Nike, les Vaporfly, intégrant également une plaque en fibre de carbone.
World Athletics n’était pas allée jusqu’à l’interdiction de ces chaussures déjà sur le marché, mais elle avait décidé de geler l’introduction de toute nouvelle technologie dans les chaussures jusqu’aux Jeux olympiques de Tokyo, qui, initialement devaient avoir lieu fin juillet 2020. Elle avait aussi limité à une le nombre de plaques rigides à l’intérieur des semelles.
Certains concurrents de Nike avaient toutefois vivement réagi car l’équipementier américain, peu de temps après cette décision, avait proposé des modèles pour la piste adaptés de sa technologie route et entrant pile dans la nouvelle réglementation.
« Ces modifications visent à maintenir le statu quo technologique actuel jusqu’aux Jeux olympiques de Tokyo pour toutes les épreuves », a prévenu la fédération, mardi 28 juillet, après avoir publié ses nouvelles règles.
Elle a rappelé qu’un « groupe de travail sur les chaussures d’athlétisme nouvellement formé, comprenant des représentants des fabricants de chaussures et de la Fédération mondiale de l’industrie des articles de sport (dont l’acronyme en anglais est WFSGI) » a été mis en place et que celui-ci doit fixer « les paramètres permettant d’atteindre le juste équilibre entre innovation, avantage compétitif, universalité et disponibilité ».
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