Salima - 28.03.2020 - Etonnant de voir jean-jacques bukassa parler de ce qu'il a fait en tant que directeur de Families Against Poverty International en Afrique du sud sans doute, un pays où le régime apparteid avait dépossédé les masses paysannes de leurs terres pour les remettre aux propriétaires blancs, ce que le nouveau régime sud africain essaie de confisquer des blancs et les remettre aux noirs (ce qui est en fait remettre ces terres aux autochtones Ayants-droit)...et le voilà, lui venir au pays suggérer sa distribution des terres, ignorant que le Congo n'a pas ce genre de problème, car toutes les terres du Congo appartiennent en bien communautaire à ses tribus autochtones. Le problème au pays, c'est la gouvernance ou plutôt son manque criarde qui fait que le roitelet du jour impose sa loi et gratifie ses amis recrutés pour la circonstance ici et là dans le monde. Un état de droit devra se constituer en interlocuteur des tribus-Ayants-droit des terres et partenaires pour le développement national partagé dans le cadre d'un pacte national des tribus-ayants-droit des terres, pas l'anarchie qu'on vit avec l'homme fort s'accapare son kingakati et fait garder ces terres ravies des autochtones par un millier de troupes armées.